La poliomyélite, c’est un peu la tarte à la crème de la patascience vaccinaliste : ses adeptes nous la resservent à chaque fois qu’il faut faire croire que les vaccins sont un bienfait pour l’humanité et qu’ils l’ont sauvée d’effroyables maladies infectieuses. Les images d’enfants paralysés et encagés dans des poumons d’acier restent suffisamment imprégnées dans la mémoire collective pour que l’émotionnel fasse son effet et que la platitude crémeuse soit avalée sans discussion. On l’a encore vu début septembre lorsque Donald Trump a déclaré publiquement que la disparition de la polio était une « amazing » victoire américaine attribuable au « marvelous » vaccin inventé pour l’éradiquer. Selon Bill Gates, qui avait été reçu quelques jours auparavant à la Maison-Blanche pour parler d’autre chose, son locataire lui avait tenu spontanément les mêmes propos passionnément pro vaccinaux.
Ce mythe du triomphe vaccinal sur un épouvantable fléau viral repose pourtant sur une accumulation de mensonges, de chiffres falsifiés, de faits déformés et de vérités soigneusement dissimulées. Au lieu de s’extasier devant l’informaticien qui se prend pour le médecin du monde, Trump aurait pu le remettre à sa place. Dommage que son ministre de la santé n’était pas convié au dîner car Robert Kennedy aurait certainement remis les pendules à l’heure et tempéré l’euphorie présidentielle en apportant des correctifs au narratif. Et vous, comment réagissez-vous quand on vous rabâche la légende de la terrible-polio-vaincue-par-le-vaccin ? Si les arguments vous manquent, en voici une série qui vous aidera à répliquer aux clichés et à renvoyer la tarte à la crème à l’expéditeur.
1) L’obligation vaccinale n’a pas de sens
Faisons d’abord mine d’admettre la théorie dominante selon laquelle la vaccination antipolio a fait disparaître la maladie : pourquoi faudrait-il alors continuer à se vacciner ? En Belgique, le dernier cas remonte à 1979. Et l’Europe a été déclarée indemne de polio en 2002. C’est aussi le cas sur tout le continent américain, en Russie, en Océanie et dans le Pacifique sud, Chine comprise. En Afrique noire et au Maghreb, les derniers cas ont été détectés au siècle dernier. Pour justifier la poursuite du programme vaccinal, on nous raconte qu’il faut « éradiquer le virus de la surface de la planète. » Comme si l’Homme pouvait éradiquer un virus !
Éliminer une maladie, on veut bien, mais cette utopie de l’éradication virale, c’est du grand n’importe quoi. Les particules appelées virus sont partout et celui de la polio est toujours bien là, on le retrouve régulièrement dans les eaux usées en compagnie – beaucoup plus fréquente il est vrai – des souches vaccinales. La circulation du virus sauvage n’est pas à redouter puisque sa présence dans nos intestins nous immunise naturellement.
On nous brandit évidemment la sacro-sainte immunité de groupe : pour protéger la collectivité, il faudrait absolument contraindre les individus à se réfugier sous la couverture vaccinale. En Belgique et en France, la vaccination antipolio est obligatoire et son refus expose les parents à des poursuites pénales. Pourtant, rien ne prouve que les lois liberticides soient impératives pour atteindre le résultat visé. Selon le catéchisme vaccinaliste, le taux de vaccination doit atteindre les 80 % pour prémunir de la polio. Or ce pourcentage est largement dépassé dans les 18 pays européens (Allemagne, Pays-Bas, Autriche, Suisse…) où la vaccination est facultative. Curieusement, on cite maintenant le pourcentage de 90 % comme seuil d’efficacité. Mais ça laisse encore à 10 % de la population la possibilité de refuser l’injection sans représenter une (prétendue) menace pour autrui. Il y a de l’espace pour le libre choix.
2) La vaccination, ça ne marche pas
C’est chaque fois pareil : quand ils relatent des flambées de polio, les médias nous expliquent aussitôt que c’est dû à une vaccination insuffisante. En 2010, par exemple, une épidémie au Tadjikistan a été mise sur le compte d’une méfiance islamique envers les vaccins. Or, comme dans toutes les anciennes républiques soviétiques, on y a toujours vacciné à tour de bras. Et l’OMS avait même fièrement déclaré le pays débarrassé du mal. Idem quand ça se passe en Inde ou en Afrique de l’Est : on nous serine qu’on n’y vaccine pas assez alors que le Tiers-Monde est en général survacciné grâce à l’Unicef, au Rotary ou à la Fondation Gates.
En Occident, les rarissimes foyers infectieux sont attribués à des sectes antivax, comme en Hollande en 1978 et 1992. Problèmes : la majorité de ses membres étaient dûment vaccinés et aucun cas n’a été relevé parmi les 400 000 personnes non vaccinées pour d’autres motifs que religieux. La vérité, c’est qu’il y a de multiples contre-exemples (Oman, Finlande, Israël…) montrant que la polio redémarre après des campagnes de vaccination ou qu’elle se développe dans des populations vaccinées. Dans deux cas (l’île de Madère dans les années 60 et l’Albanie dans les années 90), la coïncidence entre l’arrivée du vaccin et le retour de la poliomyélite fut absolument flagrante. Actuellement, dans les pays occidentaux, il n’y a quasiment plus que des polios post-vaccinales. Et dans le reste du monde, les vagues de polio imputées au virus sauvage sont toujours précédées par de grandes campagnes vaccinales.
3) Les statistiques ont été manipulées
Selon la croyance entretenue par le dogme, la mise au point du vaccin nous a débarrassé d’un effroyable fléau qui ravageait le monde entier depuis l’aube des temps. La réalité est toute différente. Si la maladie est connue depuis l’antiquité, les épidémies sont nées dans les populations prolétarisées des pays industrialisés à la fin du 19ème siècle. En France, la maladie évolue à bas bruit avec moins de 200 cas par an en moyenne dans les années 1920. Il y a un gros pic en 1930, deux nouvelles pointes en 1943 et 1946, jusqu’à la grande épidémie de 1957.
Arrivé sur le marché l’année précédente, le vaccin est inoculé massivement en France en 1958, avec le succès que l’on nous vante puisque la courbe amorce sa plongée jusqu’à son plancher actuel. Le hic, c’est qu’il y a un tour de passe de passe : on a escamoté des statistiques la brutale remontée de 1959 ! Dans son livre « Vaccinations : les vérités indésirables », Michel Georget raconte comment les autorités sanitaires de l’époque ont camouflé ce fiasco vaccinal. Le biologiste souligne aussi le phénomène du « rediagnostic » : avant le vaccin, on voit la polio partout. Après, on ne la voit plus nulle part. Les chiffres en sont forcément faussés.
Ils sont d’autant plus faux que les critères diagnostiques ont été modifiés au moment même où les vaccins ont été introduits. Au début des années 1950, avant le vaccin de Salk, le diagnostic de la poliomyélite paralytique était assez simple : tout cas de paralysie durant 24 heures ou plus, sans autre cause évidente, était généralement considéré comme une poliomyélite. Mais en 1955, l’année même où le vaccin de Salk a été mis sur le marché américain, les autorités sanitaires ont discrètement imposé une définition beaucoup plus stricte : la paralysie devait désormais persister pendant au moins 60 jours et être confirmée comme n’étant pas causée par d’autres virus pour être considérée comme une poliomyélite. C’est le simple fait de changer les critères de diagnostic qui a donné l’illusion d’une diminution du nombre de cas aux USA entre 1955 et 1957. Ce qu’on nous cache aussi, c’est que le taux de létalité a suivi une pente inverse de celle de l’incidence. Autrement dit, plus la polio diminuait en fréquence, plus sa gravité augmentait. Le nombre de décès parmi les sujets atteints a explosé à partir de 1964, date de l’obligation vaccinale.
4) Le vaccin fait de gros dégâts
Selon la fameuse balance « bénéfices-risques », le vaccin polio est largement bénéficiaire. Le terrible danger de la maladie écrabouille de tout son poids les légers inconvénients liés à la vaccination. Avant de faire un sort à ce gros mensonge, saluons d’abord la mémoire des victimes officiellement reconnues. Comme beaucoup de vaccins, le développement de celui de la polio a occasionné de lourdes pertes humaines. Le vaccin Salk, notamment, fut à l’origine d’une véritable hécatombe en 1955 en Californie : 220 000 contaminations, 70 000 malades, 164 paralysies sévères et au moins 10 décès.
Pour d’autres préparations vaccinales, ce sont des handicapés, des prisonniers et des enfants africains qui ont servi de cobayes. Le nombre de vies sacrifiées reste un mystère, mais c’est un fait historique que les balbutiements de la vaccination polio ont fait de gros dégâts. Cultivé sur des reins de singes, le vaccin oral Sabin a été testé sur 80 millions de personnes. Or il contenait, ce qu’on ne savait pas à l’époque, des rétrovirus simiens très semblables au HIV. Certains pensent que l’épidémie africaine de sida a commencé au Congo belge après l’administration à grande échelle de ce vaccin à virus vivant.
Il a été abandonné chez nous mais la formule injectable n’est guère plus rassurante. Encore aujourd’hui, la pharmacovigilance recense de multiples accidents de toutes sortes : des polios postvaccinales avec complications, des syndromes de Guillain-barré, des méningites, des encéphalites, des polynévrites, des myélites, des scléroses en plaques et d’autres troubles neurologiques, des maladies cutanées, des décès par infection, des chocs anaphylactiques, des morts subites du nourrisson… Rappelons à cet égard l’étude américaine signalant que 70 % des bébés subitement décédés avaient reçu le vaccin DTpolio dans les trois semaines précédant leur décès. La relation causale faisant peu de doute, ça veut dire que le vaccin tue chaque année des milliers de nouveaux nés !
En Inde, en 2011, le vaccin antipolio a provoqué pas moins de 47 500 cas de paralysie flasque aiguë, une atteinte neurologique irréversible et deux fois plus meurtrière que la polio sauvage. Tout cela ne constitue qu’une petite pointe de l’iceberg puisqu’il est admis que seulement 1 à 10 % des effets secondaires graves sont effectivement recensés. Autant savoir que les mixtures vaccinales contre la polio sont adjuvées avec de l’aluminium (neurotoxique) et du formaldéhyde (cancérigène).
5) Le virus est innocent
Le virus accusé de causer la poliomyélite est un entérovirus, c’est-à-dire qu’après absorption par voie digestive, il se multiplie dans l’intestin où, dans la grande majorité des cas, il génère une immunité solide et durable qui protégera l’individu infecté durant toute sa vie. En général, la présence d’entérovirus est asymptomatique. Pour le poliovirus, on estime qu’il y a seulement 5 % des infections qui sont cliniquement perceptibles, c’est-à-dire que 95 % des personnes infectées sont des porteurs sains qui ne manifestent aucun symptôme. Étrange cruel ennemi qui épargne ses hôtes 9,5 fois sur dix !
Si somatisation il y a, l’infection du système nerveux central se limite le plus souvent à un état grippal qui peut néanmoins déboucher sur une méningite, laquelle s’accompagne dans la moitié des cas d’une lésion des neurones moteurs, d’où, dans moins de 1 % des cas, paralysie des membres inférieurs et difficultés respiratoires pouvant entraîner le décès. Mais savez-vous que seulement 5 % des personnes atteintes de poliomyélite paralytique en meurent et que donc 95 % des malades paralysés survivent ? Autant le supposé pathogène a été diabolisé, autant la pathologie qu’il est censé générer a été dramatisée à l’excès dans le but d’effrayer.
« Le microbe n’est rien, le terrain est tout » disait Claude Bernard. L’important est de comprendre comment ce terrain se détériore et ce qui perturbe l’équilibre écologique entre les humains et les virus. Pour ça, il suffit de récolter des données épidémiologiques, ce qui a été fait en 1974 par le Ministère français de la Santé. Son étude concluait que la population touchée par la polio était de condition modeste, souvent d’origine étrangère, et vivant en milieu urbain dans des conditions d’hygiène déplorables, sans égouts ni eau courante. Bref, la polio est une maladie de la pauvreté et de l’insalubrité, maladie dont la disparition trouve très probablement son explication majeure dans le développement des adductions d’eau potable et des réseaux d’assainissement. Inversement, la destruction de ces infrastructures conduit à des flambées de poliomyélite, comme cela s’est vu dernièrement à Gaza.
6) Les vraies causes sont ailleurs
Reste à élucider l’expansion de la maladie au XXème siècle et les résurgences épidémiques sporadiques sans carences hygiéniques évidentes. Dans son livre « Nous te protégerons ! La poliomyélite, quel vaccin ? Quel risque ? », le Dr Jean Pilette avance l’hypothèse convaincante de la médecine par piqûres. En 1930, par exemple, la syphilis fait des ravages et on soigne cette maladie avec des drogues injectées par voie intramusculaire. Or il est connu que ce type de pratique peut provoquer une poliomyélite. Dans les années 40, les vagues de polio coïncident avec la lutte vaccinale contre la diphtérie, puis celle contre le tétanos et la coqueluche. Pour preuve de la responsabilité des seringues et des aiguilles, les paralysies post-vaccinales apparaissent le plus souvent dans la zone d’inoculation.
Après-guerre, deux phénomènes permettent de comprendre les crues épidémiques : le recours massif aux antibiotiques et la mode chirurgicale de l’ablation des amygdales. Dans sa grande inconscience interventionniste, la médecine moderne a en effet considéré cet organe comme un appendice superflu, alors qu’il constitue l’avant-poste des défenses immunitaires. De nombreux travaux de recherche ont montré que la fréquence et la sévérité de la polio était plus élevée chez les opérés des amygdales, et même chez ceux à qui on a simplement retiré les végétations.
Dans les années 50, c’est l’exposition massive à des pesticides neurotoxiques comme le DTT et l’arséniate de plomb qui peut être pointée du doigt. Dans son ouvrage « Vaccination, la grande désillusion », le Dr Suzanne Humphries dévoile un graphique montrant que l’incidence de la polio et la production de DDT suivent des courbes parfaitement parallèles, ce qui accrédite fortement la thèse de l’empoisonnement. La néphrologue et son co-auteur évoquent aussi les intoxications à l’arsenic, un polluant omniprésent lorsque la polio décolle.
Au rayon iatrogénique, il faut aussi pointer le rôle désastreux des médicaments antipyrétiques. Un entérovirus, ça ne résiste pas à une température de 39°C ! Les expériences d’André Lwoff, prix Nobel de médecine en 1965, ont démontré que les animaux infectés et soumis à une légère hyperthermie surmontaient facilement l’infection. Comme quoi, la fièvre est un puissant médicament ! La manie de la faire baisser au moindre état fébrile pourrait à elle seule expliquer les complications de cette affection banale qu’est la polio à son premier stade. Dans son livre, le Dr Pilette raconte : « nous avons eu l’occasion d’interroger des personnes atteintes de séquelles polio. Toutes nous ont dit ceci :le médecin est passé et m’a donné des médicaments pour la grippe et le lendemain j’étais paralysé ».
7) La polio se soigne facilement
On l’aura donc compris : la véritable prophylaxie de la poliomyélite repose sur de simples mesures d’hygiène et sur l’élimination de ses causes environnementales et médicales.
Et quand la maladie se déclare, il y a encore moyen d’agir ! Car voici, en conclusion, le plus énorme mensonge par omission de la propagande vaccinaliste : présentée comme incurable, la polio est au contraire aisément guérissable ! Ce n’est pas un secret bien gardé puisque je peux me contenter ici de reproduire un extrait de Wikipédia : « En 1948, après plusieurs années d’expériences sur l’utilisation de la vitamine C pour soigner des maladies virales, le Docteur Fred R. Klenner mit au point et utilisa une approche concrète et peu coûteuse pour soigner la polio, basée sur l’injection de doses massives (plusieurs dizaines de grammes par jour) de vitamine C. Sur 60 malades lors de l’épidémie de 1948 en Caroline du nord, tous guérirent sans séquelles en 3 à 5 jours. Il fera connaître sa méthode lors de la session annuelle de l’American Medical Association et publiera ultérieurement plusieurs articles sur le sujet, mais le manque d’intérêt de la part de la presse scientifique et des spécialistes faisant autorité dans le domaine à une époque où tout le monde pensait plutôt à la possibilité d’une vaccination, fera qu’il sera peu suivi et sa méthode tombera dans l’oubli. Eh oui, vous avez bien lu : un remède aussi commun que la vitamine C suffit à triompher de l’infection poliovirale.
Et ce n’est pas le seul ! En se basant sur les travaux du Pierre Delbet, le Dr Auguste Neveu a proposé, au milieu du XXème siècle, un traitement curatif par le chlorure de magnésium. Et il revendiqua de nombreuses guérisons, à la grande fureur du Pr Pierre Lépine, futur inventeur du vaccin oral inactivé, qui hurlait à la supercherie. Pour faire toute la lumière, Henri Geffroy, fondateur de La Vie Claire, proposa un jury d’honneur composé à égalité de médecins choisis par Lépine et Neveu. Un certain nombre de cas de polio avérés et reconnus comme tels par l’ensemble du jury devaient être confiés au Dr Neveu. C’était l’occasion idéale de le confondre si son traitement n’était qu’une illusion. Le Dr Neveu accepta aussitôt mais le Pr Lépine refusa, considérant que toute expérimentation nouvelle était superflue. L’expérience n’eut donc jamais lieu. Dans le chapitre où il raconte cette histoire, Michel Georget écrit que ce « traitement extrêmement bon marché rendrait sans doute les plus grands services, encore aujourd’hui, s’il était connu dans le tiers-monde ».
Dans son ouvrage, le Dr Pilette mentionne quant à lui un troisième remède naturel réputé efficace, à savoir un supplément d’iode. Dans les années 50, plusieurs médecins ont testé avec succès ce type de traitement imaginé parce que la polio semblait davantage régner dans les pays n’ayant pas accès à la mer, comme la Suisse et l’Autriche. À l’instar de la vitamine C et du chlorure de magnésium, l’oligoélément marin fut cependant balayé par le développement des différents vaccins, beaucoup plus rentables que des molécules non brevetables. Si celles-ci sont tombées dans l’oubli, c’est précisément parce que les firmes pharmaceutiques n’ont aucun intérêt financier à en explorer les vertus.
Yves Rasir
Démonstration concluante!