Skip to main content

Tremblement de terre en vue ! La semaine dernière, Robert Kennedy Jr a annoncé qu’il lançait un grand programme de recherche sur l’autisme impliquant des centaines de chercheurs du monde entier issus de nombreuses disciplines. D’ici le mois de septembre, cette vaste mobilisation scientifique menée tambour battant devrait permettre d’identifier la cause – ou les causes – de la stupéfiante épidémie touchant les États-Unis, pays où 1 enfant sur 31 manifeste des troubles du spectre autistique (TSA), contre 1 sur 10 000 il y a seulement 50 ans. 

Lors de la conférence de presse annonçant cette opération inédite coordonnée par son département, le nouveau ministre américain de la santé a bien pris soin de rester neutre et de ne pas présumer de la culpabilité des vaccins. Kennedy laisse la porte ouverte à d’autres explications, comme une alimentation très déséquilibrée ou l’exposition à des polluants environnementaux. Prévoyant déjà que la présentation des résultats dans cinq mois serait un événement historique, le président Donald Trump a néanmoins avancé que la cause probable de cette « horrible statistique » pourrait se situer dans le calendrier vaccinal en vigueur aux États-Unis. « Peut-être est-ce une injection », a-t-il glissé en soulignant qu’il y avait forcément « quelque chose » qui avait engendré ce désastre sanitaire. 

Encore un peu de patience et la vérité va donc sortir du puits à la fin de l’été. La polémique sera définitivement tranchée et l’on saura enfin si les vaccins pédiatriques sont réellement impliqués dans la tragique augmentation des cas de TSA observée chez l’Oncle Sam. La prévalence de ce désordre neuro-comportemental est moins élevée en Europe (1 cas sur 100, selon les évaluations officielles), mais elle est également en hausse sur le vieux continent, et pas seulement parce qu’on la diagnostique plus facilement qu’au siècle dernier. 

Si le phénomène est moins marqué chez nous, c’est peut-être justement parce que la quantité de vaccins administrés aux jeunes enfants n’atteint pas (encore) le nombre affolant  de doses médicalement conseillées aux USA (23 dans les 18 premiers mois !). Si le lien est confirmé, la grande enquête américaine aura aussi des répercussions sismiques de ce côté-ci de l’Atlantique, et singulièrement en France où le premier gouvernement Macron a porté à 11 le nombre de vaccinations obligatoirement infligées aux nourrissons. 

Personnellement, je parie que le séisme aura bien lieu et que ça va ébranler l’Église Universelle de Vaccinologie. Ses prêtres en blouse blanche risquent d’être fortement secoués et la médecine occidentale dans son ensemble pourrait trembler sur ses bases pasteuriennes. Pourquoi je pense ça ? Parce que les chercheurs embarqués dans le programme vont immanquablement découvrir ce qui est déjà amplement démontré : des dizaines d’études publiées dans des revues scientifiques sérieuses ont déjà révélé que les vaccins faisaient grimper le taux d’autisme et plusieurs d’entre elles ont déjà élucidé les mécanismes probables de cette causalité. 

Impossible d’en faire ici l’inventaire complet, ce serait trop fastidieux. J’en ai seulement épinglé quelques-unes, certaines très récentes et d’autres plus anciennes. En parcourant ces quelques travaux, vous pouvez constater que la vérité est déjà là, à portée de main, que Robert Kennedy avait bien le droit de nourrir les soupçons et qu’il a encore davantage raison de vouloir faire toute la lumière sur l’impact désastreux des vaccinations infantiles. 

Selon l’une de ces études, le vaccin contre la rougeole est particulièrement problématique du fait que les anticorps produits sous l’action des antigènes vaccinaux impactent sévèrement le cerveau. À l’heure où cette maladie bénigne refait beaucoup parler d’elle et où les « antivax » sont à nouveau montrés du doigt, c’est le genre d’info à sortir du frigo sans attendre l’automne. 

Une causalité indubitable

Pour entamer cette petite liste, revenons brièvement sur l’étude dont je parlais dans ma lettre du 14 février. Menée en Floride sur tous les enfants âgés de 0 à 9 ans et bénéficiant du programme d’aide médicale Medicaid, elle montre que les enfants vaccinés ont 170 %  de risque en plus d’être diagnostiqués autistes que les enfants non vaccinés. Les chercheurs ont également trouvé que d’autres désordres du développement neurologique (déficit de l’attention et hyperactivité, épilepsie, inflammation du cerveau, tics, troubles de l’apprentissage…) étaient 212 % plus nombreux chez les enfant vaxxés que chez les non vaxxés. Y a-t-il signal plus clair que celui-là ? Et comment nier plus longtemps l’évidence du lien de causalité ? La relation causale est d’autant limpide que les scientifiques ont poussé l’analyse en évaluant le nombre d’injections reçues. Le surrisque de 170 %, c’est quand les enfants n’ont effectué qu’une visite médicale à finalité vaccinale. Pour ceux avec onze visites ou plus, le risque de devenir autiste est 440 % plus élevé ! Multiplié par 4,4, qui dit pire ? 

Tous les indices de culpabilité convergent

Continuons ce rapide survol avec l’étude la plus fraîche :  publiée le 7 avril dernier et réalisée par une chercheuse finlandaise, cette étude conclut que l’association entre vaccinations et autisme est devenue impossible à nier car elle remplit tous les critères de Bradford Hill. Ces critères sont  une sorte de « checklist » de points que les scientifiques doivent vérifier et cocher pour établir un lien de causalité, notamment la connexion temporelle entre l’administration d’un médicament et ses effets secondaires, leur degré de sévérité, leur similarité entre différents groupes de population, l’élimination systématique des autres causes possibles,  l’évidence d’une « dépendance à la dose », ou encore l’existence d’une explication théorique à leur apparition. Selon le Dr Nina Bjelogrlic, la littérature médicale indique que toutes ces conditions sont remplies et qu’il y a une relation causale entre les deux événements. En termes judiciaires, on pourrait dire que tous les indices de culpabilité convergent et que la condamnation de l’inculpé s’impose. Pour la chercheuse finlandaise, les armes du crime sont très probablement  l’adjuvant aluminium et les conservateurs au mercure, dont la neurotoxicité ne fait plus aucun doute. 

Perturbation immunitaire et inflammation

Pour ce qui est du mode opératoire, la science navigue encore dans le brouillard et elle hésite entre plusieurs pistes. Selon une étude parue en 2023 dans Frontiers in Immunology, il pourrait s’agir d’un processus inflammatoire déclenché par la cytokine TNF-α. Secrétée par les cellules du système immunitaire, cette substance est impliquée dans la régulation du système nerveux central, autrement dit le cerveau. Elle préside notamment aux transmissions synaptiques entre neurones via deux neurotransmetteurs, le glutamate et le GABA. Si la cytokine prolifère, ces deux messagers chimiques sont perturbés et les connexions entre synapses sont affectées. De plus, la TNF-alpha peut augmenter la perméabilité de la barrière hémato-encéphalique et favoriser ainsi la pénétration de toxiques dans le cerveau. Et enfin, la molécule immunitaire impacterait les oligodendrocytes, responsables de la myélinisation des nerfs. D’après certains immunologistes, la vaccination pourrait conduire à l’autisme en suscitant la surproduction de la cytokine inflammatoire. 

Quand les anticorps rougeoleux montent à la tête

En 2023 toujours, une autre étude est venue apporter une toute autre explication : ce sont les anticorps de la rougeole qui sèmeraient la pagaille dans la tête des enfants vaccinés ! Pour arriver à cette conclusion, les chercheurs ont effectué une étude sérologique sur le virus de la rougeole, celui des oreillons et celui de la rubéole. Les anticorps viraux ont été mesurés dans le sérum d’enfants autistes, d’enfants normaux et de frères et sœurs d’enfants autistes. Résultat : le taux d’anticorps contre la rougeole, mais pas contre les oreillons ou la rubéole,  était significativement plus élevé chez les enfants autistes. Et un anticorps dirigé contre un antigène spécifique de la rougeole a été retrouvé chez 83 % des enfants autistes mais pas chez les autres. Ça veut dire que les premiers ont une réponse « hyperimmune » au virus de la rougeole. Or en l’absence d’infection sauvage, il n’y a que la souche vaccinale qui peut expliquer cette réaction immunitaire exacerbée conduisant à l’auto-immunité. Les bébés vaccinés sont peut-être davantage à l’abri des boutons rouges sur la peau mais à l’étage cérébral, les anticorps qu’ils fabriquent contrarient leur développement normal. 

L’association déjà détectée en 2011

Retour à la méthode observationnelle : l’association  entre vaccinations et risque d’autisme est loin d’être nouvelle puisqu’elle a  déjà été détectée dans une étude datant de 2011. Les chercheurs ont examiné la proportion d’enfants ayant reçu les vaccins pédiatriques recommandés avant l’âge de 2 ans et la prévalence de l’autisme ou des troubles de la parole et du langage dans chaque État américain entre 2001 et 2007. Une relation statistique a été établie : plus les petits Américains étaient vaccinés, plus ils étaient à risque de manifester des symptômes autistiques ou des troubles du langage. Une augmentation de 1 % du taux de vaccination se traduisait par 680 diagnostics supplémentaires de l’un de ces deux handicaps. Ni le comportement des parents ni l’accès aux soins n’ont eu la moindre influence sur les résultats, ce qui renforce encore la solidité du lien causal. 

Le vaccin hépatite B sur la sellette

Remontons encore le temps : en 2010, une étude accablante a utilisé les données du système de santé américain collectées entre 1997 et 2002 et les informations sur le statut vaccinal obtenues par le cahier de vaccination, ceci afin d’estimer si la probabilité d’un diagnostic d’autisme pouvait être associée à la vaccination néonatale contre l’hépatite B introduite en 1999 aux États-Unis. Bilan : les garçons vaccinés à la naissance contre cette maladie sexuellement transmissible avaient trois fois plus de risques d’être diagnostiqués autistes que les garçons jamais vaccinés ou vaccinés après le premier mois de vie. Plus intriguant encore : les garçons noirs ou d’origine hispanique étaient nettement plus à risque de devenir autistes. Ces résultats suggèrent que des facteurs génétiques et chromosomiques interviennent certainement mais que les nouveau-nés américains non-blancs de sexe masculin encaissent particulièrement mal ce vaccin administré très précocement. 

Le scandale des vaccins conjugués 

Si l’accumulation des doses et les interactions entre valences associées dans une même seringue contribuent probablement à leur nocivité, certains types de vaccins semblent clairement plus délétères que d’autres. C’est le cas des vaccins dits «  conjugués », c’est-à-dire des vaccins où les sucres de la capsule microbienne sont fixés à une protéine pour être mieux reconnus du système immunitaire. Dans cet article, l’auteur raconte placidement que l’introduction du premier vaccin conjugué en 1988 aux États-Unis (contre l’Haemophilus influenzae de type B) a été suivie par une vague de cas d’autisme. Idem au Danemark et en Israël lorsque ces deux pays ont intégré ce vaccin à leur programme national. Croyez-vous que l’alerte a été lancée et que le principe de précaution a prévalu ? Pas du tout et sous prétexte que les vaccins conjugués offrent une meilleure immunogénicité, les vaccinateurs fous en ont développé d’autres et les ont administrés de plus en plus tôt. Selon toute vraisemblance, ce genre de mixture interfère avec le développement du système nerveux des nourrissons. Et selon l’hypothèse défendue dans l’article, les vaccins conjugués perturbent surtout le processus de myélinisation des nerfs. Ces produits ne ratent peut-être pas leurs cibles bactériennes mais ils abîment irrémédiablement les cerveaux immatures ! 

Vivement septembre !

Vous en voulez encore ? Sans même revenir sur les travaux controversés d’Andrew Wakefield, je pourrais continuer à vous assommer d’études montrant que les vaccins défavorisent la santé mentale des enfants, notamment toutes celles qui établissent l’extrême toxicité du thimérosal et des autres dérivés mercuriels. Mais ce n’est pas le but, je voulais simplement vous souffler que Robert Kennedy ne part pas sans biscuits et que sa grande enquête scientifique sur les causes de l’autisme devrait logiquement déboucher sur des révélations fracassantes. À mon avis, c’est pour ça que le ministre américain de la santé donne actuellement des gages de modération et qu’il incite même ses compatriotes à se vacciner contre la rougeole. Il est bien placé pour savoir que le dogme vaccinaliste pourrait prochainement être malmené au point de s’écrouler. Vivement le mois de septembre !

Yves Rasir

 

2 Comments

  • Mostaert Louis dit :

    On peut espérer mais, évidemment, les croyants (de l’infectiologie, de l’épidémiologie, de la virologie et de la vaccinologie) refuseront les résultats de cette étude. Si les autres y adhèrent, les croyants deviendront minoritaires et la vérité pourra s’imposer.
    Je ne comprends pas pourquoi Néosanté, qui défend la thèse que les microbes sont nos amis et non nos ennemis, continue de considérer qu’il y a des maladies transmissibles comme l’hépatite B et que l’inoculation de (morceaux de) microbes provoque la production d’anticorps (alors que c’est plutôt l’inoculation de polluants avec les injections qui provoque une réaction immunitaire avec des anti-corps) ! A ce propos, si des nourrissons reçoivent 23 injections comme au USA, leur sang ferait donc circuler 23 anticorps « différents », donc 23 molécules différentes. Comment est-ce possible ?
    Je me demande pourquoi, si les vax sont la cause de l’autisme, tous les enfants injectés ne le développent-ils pas ? Pourquoi n’y a-t-il qu’une augmentation statistique du risque de le développer ? Bref, puisque des injectés ne développent pas d’autisme, il faudrait tenir compte d’un autre facteur. Peut-être le fait que toutes les marques de vaccins n’utilisent pas les mêmes adjuvants. Peut-être que tous les injectés en bas âge n’utilisent pas d’antibiotiques : certains scientifiques avaient émis l’hypothèse que l’autisme serait lié à la flore intestinale quand elle est déficitaire en certaines bactéries (qui permettent d’assimiler certains nutriments), suite à l’usage intensif d’antibiotiques pendant l’enfance.

    • Yves Rasir dit :

      Merci d’attirer mon attention sur ma petite contradiction: si j’ai écrit que l’hépatite B était une maladie sexuellement transmissible, c’est pour mentionner toute l’absurdité de vacciner des bébés. Et non parce que je souscris à la thèse de la contagion. Néanmoins, il ne faut pas disculper les vaccins, ni évacuer la possibilité que leur contenu biologique inoculé par effraction de la peau puisse être délétère… ou positif. Il est de plus en plus évident, notamment, que le virus de la rougeole (ou ce qui est appelé comme tel) possède des vertus oncolytiques. Si tout le monde ne réagit pas de la mème manière à une injection, c’est évidemment parce que personne n’a le même terrain, microbiotique entre autres.

Leave a Reply