Dès que j’ai su que Corinne Lalo sortait un nouveau livre, je me suis évidemment empressé de me le procurer. Journaliste d’investigation indépendante et naguère grand reporter pour de « grands » médias (TF1, TV5 Monde ou France 3), cette enquêtrice intrépide s’est particulièrement illustrée dans le domaine de la santé. Elle a notamment couvert et co-dévoilé des scandales retentissants comme le nuage de Tchernobyl, l’affaire du sang contaminé, le vaccin contre l’hépatite B, le Mediator, ou encore le Levothyrox.
Au rayon librairie, on lui doit notamment des ouvrages comme « Le livre noir du médicament » (Plon, 2011), « Le grand désordre hormonal » (Le Cherche Midi, 2021) et « Perturbateurs endocriniens, tout ce qu’on ne vous dit pas » (Le Cherche Midi, 2024). Dans le mensuel Néosanté, nous avons recensé et encensé ces livres et nous avons interviewé leur auteure à l’occasion de son enquête-choc sur les polluants hormonaux. Il était bien normal que je me jette sur son dernier bébé, « Fausses pandémies, vrais mensonges » (Magnus, 2025), consacré à la grande mascarade covidienne.
Après lecture, mon impression globale est qu’il s’agit vraiment d’un super bouquin, l’un des meilleurs sur la cinquantaine que j’ai déjà lus ou parcourus sur le sujet. En 420 pages aérées et agrémentées de dessins et de schémas, Corinne Lalo conjugue concision et exhaustivité pour dégommer le récit officiel et montrer à quel point l’opinion publique a été trompée. Son enquête ne m’a personnellement presque rien appris, elle contient peu de révélations inédites et j’y ai retrouvé quasiment tout ce que j’ai écrit depuis 5 ans. Cependant, elle constitue une excellente synthèse pour les personnes peu ou pas informées. Si les cloches de Pâques pouvaient déposer un exemplaire de cet essai dans les chaumières de tous les endormis croyant encore que l’humanité a vécu une grave catastrophe sanitaire, je pense qu’on assisterait à un grand réveil planétaire.
Car le brûlot de Corinne Lalo expose sans ambages ni ambiguïté la vérité brutale : il n’y a pas eu de pandémie ni d’émergence d’une nouvelle maladie infectieuse dangereuse. La tragédie annoncée ne s’est pas produite, les chiffres ont été truqués et cette fable du fléau viral ravageur a été construite à coup de fraudes et de manipulations. Les quelques pics de surmortalité ? Comme nous l’avons fait à maintes reprises, la journaliste énonce qu’ils peuvent s’expliquer en totalité par la réponse des autorités : c’est la gestion de la crise qui a créé la crise !
Histoire de vous appâter et de vous inciter à acheter ce petit pavé pas cher (21€), je vais à présent vous copier-coller son sommaire. De façon didactique et percutante, l’auteure de « Fausses pandémies, vrais mensonges » a divisé son œuvre en 10 chapitres correspondant aux 10 mensonges qu’elle a identifiés, qu’elle résume chaque fois de manière encore plus pédagogique et dont elle tire 10 grandes leçons pour l’avenir. En aval des dix titres de chapitres, je résume à mon tour très brièvement le propos de Corinne et je propose mes propres commentaires, le plus souvent élogieux mais parfois critiques.
De mon point de vue, l’ouvrage souffre en effet d’un gros point faible : il part du principe qu’il y avait bel et bien un virus et il postule que ce virus était artificiel. Il adhère à ce que j’ai appelé la « deuxième doxa », à savoir la thèse d’un assaillant viral bricolé de main d’homme et échappé d’un labo avant de nous tomber sur le paletot. Cette vision pasteurienne n’est pas du tout la mienne et elle n’est pas non plus celle de Pierre Chaillot, dont Corinne Lalo cite pourtant abondamment les travaux. Ça et là, je me permets donc de formuler quelques réserves et remarques sceptiques. Mais que cela ne vous empêche pas de commander ce très bon livre et de le recommander à ceux qui ne veulent toujours pas ouvrir les yeux. Attention pour ceux qui vont oser le faire, ça risque de beaucoup piquer !
1er MENSONGE : on nous a fait croire à une pandémie surprise, alors que… l’opération Covid était préparée depuis longtemps.
Dans ce premier chapitre, Corinne Lalo nous rafraîchit utilement la mémoire. Elle nous relate la première tentative ratée de pandémie factice, qui a eu lieu en 1976 aux États-Unis alors dirigés par Gérald Ford, conseillé par Henry Kissinger et le milliardaire Nelson Rockfeller. Une campagne de vaccination massive avait dû être interrompue après 25 décès. Elle nous raconte aussi le fiasco de la grippe A/H1N1 en 2009 : les populations avaient très vite perçu que cette « grippe porcine » était bénigne et avaient snobé le vaccin. Elle nous rappelle surtout comment, entre 2009 et 2019, l’Organisation Mondiale de la Santé a été quasiment privatisée par l’industrie pharmaceutique et comment s’est mis en place un système de censure planétaire destiné à imposer le narratif de l’OMS. Non sans sagacité, Corinne Lalo fait observer que les fact-checkers, chiens de garde du discours officiel, ont pour la plupart été financés par l’USAID, « agence de développement » dont les liens avec la CIA étaient très étroits avant que Donald Trump n’assèche ce marais nauséabond.
2ème MENSONGE : on nous a fait croire à une hécatombe en Chine, alors que… il n’y a jamais eu d’épidémie grave à Wuhan en janvier 2020.
Contrairement à ce qui a été martelé par les médias et les gouvernements, il n’y a pas eu d’épidémie particulière à Wuhan fin 2019. Les autorités sanitaires chinoises ont surjoué la mobilisation dès le départ. Le 31 décembre, elles lancent l’alerte alors qu’il n’y a toujours que 27 malades et zéro mort ! Corinne Lalo souligne à juste titre que les « pneumonies atypiques » n’ont rien d’atypique puisqu’elles représentent environ la moitié des pneumopathies inexpliquées. En moins de 15 jours, sous l’impulsion de l’OMS, le train fou de la plandémie est pourtant sur les rails : les chercheurs chinois affirment avoir établi un lien de causalité entre ces infections pulmonaires et une « nouveau coronavirus » (ce qui est impossible en si peu de temps) et déposent son génome dans une banque internationale de gènes (ce qui génère de plantureuses royalties) tandis que l’OMS sort de son chapeau le test PCR développé sans échantillon biologique. Le 23 janvier 2020, le bouclage de Wuhan est décrété pour seulement 17 morts et l’urgence internationale est déclarée une semaine plus tard avec zéro mort en dehors de la Chine. Comme l’écrit Corinne Lalo : « cette non-épidémie a débouché en moins d’un mois sur une non-pandémie ».
3ème MENSONGE : on nous a fait croire à un virus naturel, alors que… des virus artificiels étaient fabriqués en laboratoire depuis longtemps.
C’est aussi fin janvier 2020 que commence à circuler la rumeur du virus fabriqué en laboratoire, thèse que Corinne Lalo prend au sérieux alors qu’elle vient de conclure que l’épidémie était fictive. Comprenne qui pourra ! Pour ceux qui croient à ce scénario hollywoodien désormais mainstream (la CIA l’a avalisé en janvier dernier, le Congrès américain s’y est rallié en février et l’ex-ministre française de la santé Agnès Buzyn a révélé fin mars qu’elle y a cru dès le début), le troisième chapitre en constitue toutefois un parfait résumé. Ce qui me hérisse, c’est surtout son titre : comment peut-on affirmer sans la moindre preuve que des virus mutants sont fabriqués depuis très longtemps ? Et quand bien même des apprentis-sorciers y seraient parvenus, qu’est-ce qui prouve que ces OGM viraux sont des pathogènes rendus plus contagieux ou plus dangereux ? Citant des « experts militaires », Corinne Lalo soutient que « les armes qui simulent des épidémies existent déjà ». Je la mets au défi de démontrer que c’est le cas et que cet arsenal caché est de nature biologique. De mon côté, je persiste à penser que la « guerre biologique » est un oxymore (deux termes qui se contredisent) et que la fiction du gain de fonction sert à masquer d’autres types d’attaques « non conventionnelles ».
4ème MENSONGE : on nous a fait croire à une urgence nationale, alors que… l’OMS a inventé une pandémie en mars 2020.
Après cette escapade dans l’imaginaire, l’auteure renoue avec la réalité : rien ne permet de dire qu’un fléau infectieux a déferlé sur terre en mars 2020. Lorsque l’OMS qualifie l’épisode de Wuhan de « pandémie », il n’y a que 4 291 morts dans le monde. Il n’y a pas eu une pandémie de malades mais bien une pandémie de tests. Comme Néosanté l’a fait dès le printemps 2020, Corinne Lalo expose que la technologie PCR est une arnaque totale dans la mesure où elle génère un nombre énorme de faux positifs. Et elle rappelle à très bon escient que les tests PCR du monde entier ont repris une séquence virale théorique et non pas physique. Autrement dit, les bouts de génomes qui ont servi d’amorces au dépistage moléculaire n’existaient que sous forme informatique ! Dans ce chapitre, la journaliste pose la question de savoir « à qui a profité le pactole des tests Covid » ? Je ne vais pas spoiler la réponse mais je vous dis quand même que les grands bénéficiaires de cette gigantesque escroquerie ne sont pas chinois ni américains…
5ème MENSONGE : on nous a fait croire à une pandémie mortelle, alors que… en 2020, l’hécatombe prédite n’a pas eu lieu.
Via ce cinquième chapitre, Corinne enfonce le clou de la vérité dans le cercueil des mensonges : on nous a vendu un désastre qui n’a pas eu lieu et dont on a su très vite qu’il ne se produirait pas, notamment grâce aux calculs du Pr John P.A. Ioannidis, considéré par ses pairs comme le meilleur épidémiologiste du monde. Pour la population mondiale âgée de moins de 70 ans, soit 94 % de l’humanité, le taux de létalité de la grippe Covid a été en 2020 de… 0,07 %. Et pour les moins de 19 ans, le taux de mortalité par personne infectée a été de 0,0003 %, autrement dit rien du tout. Côté français, l’imposture des prédictions apocalyptiques a été rapidement mise au jour par Laurent Toubiana et Pierre Chaillot, dont Corinne Lalo résume les travaux statistiques en moins de 10 pages : aucune trace d’hécatombe en 2020, ni même de saturation hospitalière comme lors d’une grippe ordinaire. Comment a-t-on alors créé l’illusion d’une pandémie mortelle ? L’auteure dresse une liste des « 10 astuces » qui ont permis le tour de passe-passe, entre autres bien sûr l’invention d’une nouvelle codification spéciale Covid et les changements de notification sur les certificats de décès (les morts « avec » le Covid devenant des morts « du » Covid). Comme l’a si bien dit Pierre Chaillot, cette pseudo pandémie n’avait rien d’une virémie, c’était une construction purement bureaucratique.
6ème MENSONGE : on nous a fait croire qu’il n’y avait pas de traitements, alors que… les mesures médicales étaient aberrantes.
Dans son 6ème chapitre, l’auteure retombe malheureusement dans ses contradictions : alors qu’elle vient de montrer que la pandémie était bidon, elle déplore que les « traitements précoces » (l’hydroxychloroquine en tête) ont été négligés. Je ne comprendrai jamais pourquoi il eût fallu se ruer sur des remèdes repositionnés et potentiellement dangereux pour traiter un syndrome grippal somme toute banal, et en tout cas peu meurtrier. Heureusement, ce volet du livre s’attarde sur le véritable scandale, à savoir l’accumulation d’aberrations médicales qui feraient passer Diafoirus pour un génie. Censure du débat scientifique, négation de l’immunité naturelle, médecins traitants mis hors-jeu, antibiotiques déconseillés, masques inutiles mais obligatoires, recommandation du paracétamol, prescription du remdesivir, promotion de l’intubation invasive, recours massif au Rivotril pour achever les vieux… : Corinne Lalo passe en revue toutes les mesures et injonctions absurdes qui ont composé ce que j’ai nommé une « déferlante iatrogénique », laquelle explique à elle seule la surmortalité enregistrée durant les soi-disant deux premières vagues dans une minorité de pays européens. Concernant le paracétamol, Corinne fait référence à une vaste étude publiée en décembre 2024 et qui montre que le médicament fébrifuge a entraîné une mortalité accrue de 24 % et un risque d’hospitalisation augmenté de 34 %. Lorsque le paracétamol était pris en traitement précoce, comme recommandé par le gouvernement en France, le surrisque de décéder du Covid était de 127 % ! On les juge quand, les ministres assassins ?
7ème MENSONGE : on nous a fait croire qu’il fallait des confinements et des pass sanitaires, alors que… la gestion de la crise a créé la crise.
Le titre de ce chapitre aurait pu convenir au précédent. Le septième mensonge, c’est d’avoir fait croire que les confinements et autres mesures liberticides étaient nécessaires et efficaces alors qu’elles n’avaient aucun fondement scientifique et qu’elles se sont avérées contre-productives là où elles ont été appliquées. A contrario, l’absence de surmortalité dans les pays peu ou pas confinés démontre leur inutilité. Corinne Lalo cite en exemple la Suède mais elle aurait mieux fait, à l’instar de Pierre Chaillot et Eusèbe Rioché, de pointer le modèle norvégien. En Norvège, l’État n’a imposé aucune contrainte aux citoyens et 2020 fut une année statistiquement normale. Ce 7ème chapitre est essentiel car il rappelle que les options autoritaires ne datent pas d’hier et que les politiques totalitaires ne viennent pas de Chine : elles trouvent leur origine dans une série de neuf « simulations pandémiques » internationales remontant à 2001 (exercice Dark Winter) et dont le célèbre Event 201 d’octobre 2019 ne fut que la dernière édition avant l’accomplissement du plan. L’enfermement des populations et la vaccination « fonctionnellement obligatoire » sont également depuis longtemps au menu de l’ONU à travers l’Agenda ID 2020, devenu Agenda 2030 pour le développement durable. Corinne Lalo souligne pertinemment que les répétitions pandémiques ont d’abord été organisées par les agences de renseignement liées à la CIA et au Pentagone, avant d’être rétrocédées au privé (Université John Hopkins, Forum économique mondial et organisations « caritatives » comme le Wellcome Trust et la fondation Gates). Qui peut croire sérieusement que les services secrets américains ont passé la main sans infiltrer les structures « jouant » à contrôler et réprimer les peuples sous prétexte d’urgence sanitaire ? En 2022, l’exercice « Catastrophic Contagion » qui s’est déroulé à Bruxelles a demandé aux États de faire passer dans leur législation des lois empêchant la liberté d’expression, ce que la France s’est empressée de faire sous couvert de lutter contre les dérives sectaires…
8ème MENSONGE : on nous a fait croire que les « vaccins » étaient la seule solution, alors que… inutiles, inefficaces et toxiques, les « vaccins Covid-19 » n’empêchaient pas la transmission.
Ce huitième chapitre n’apprendra rien aux lecteurs « complotistes ». Ceux-ci savent très bien que les injections géniques expérimentales n’ont eu aucune espèce d’efficacité et que leur nocivité apparaissait déjà dans les essais cliniques de Pfizer et Moderna. En revanche, les inoculés qui ont cru et croient toujours à la sinistre farce du vaccin « sûr et efficace » vont prendre cette partie du livre en pleine face : sur 60 pages, y sont détaillées toutes les preuves que les produits à ARN modifié n’ont apporté aucun bénéfice tout en présentant beaucoup de risques. En bonne vulgarisatrice, Corinne Lalo explique clairement ce qui différencie cette technologie hasardeuse de la vaccinologie classique. Ce que je pourrais reprocher à l’auteure, c’est qu’elle alimente la phobie de la célébrissime protéine Spike. Pourquoi ne pas rappeler que cette spicule ou péplomère est très commune et qu’elle enveloppe des tas d’autres virus ? Si l’on déchausse les lunettes pasteuriennes pour considérer la théorie du terrain, cette couronne d’épines n’a plus rien d’effrayant. D’ailleurs, comme le reconnaît Jean-Marc Sabatier, ces mini-épées sont émoussées, voire désactivées par la simple prise de zinc et de vitamine D. Tiens, ce sont justement les remèdes éprouvés de la grippe ordinaire, un hasard sans doute…Si elle verse à son tour dans la paranoïa virale, Corinne Lalo fait cependant preuve de discernement en montrant que c’est l’encapsulage nanoparticulaire de la Spike vaccinale qui lui confère son pouvoir de nuisance. Et surtout, la journaliste a l’audace de ponctuer ce chapitre en mentionnant la présence éventuelle de « composants mystères » dans les faux vaccins à ARN messager. Tout comme le chercheur Hervé Seligmann, dont les travaux me paraissent capitaux, elle n’écarte pas cette possibilité et suggère que des nanomatériaux non-déclarés (oxyde de graphène ?) pourraient expliquer la cytotoxicité et la contagiosité de la soupe injectée.
9ème MENSONGE : on nous a fait croire que les « vaccins » étaient sûrs et efficaces, alors que… la surmortalité et les maladies ont explosé après les campagnes vaccinales.
Quel qu’en soit l’ingrédient causal, il est certain que les fioles anti-Covid ont beaucoup blessé et tué. Les statistiques de surmortalité toutes causes et la corrélation chronologique ultra forte avec les phases d’injections dans les différentes classes d’âge ne laissent plus place au doute. C’est ce que démontre Pierre Chaillot dans son fracassant deuxième ouvrage « Victimes des vaccins Covid 19 : ce que révèlent les chiffres officiels ». Dans le neuvième chapitre du sien, Corinne résume les découvertes de Pierre et raconte très bien comment les autorités ont réussi à cacher que les vaccinés mouraient plus que les non-vaccinés : les premiers étaient classés parmi les seconds pendant deux semaines alors que 80 % des effets indésirables se produisent durant les 14 jours suivant la piqûre. En Grande-Bretagne, le statut vaccinal réel n’a pas été dissimulé et le scandale a éclaté dès 2023. Son ampleur ? Avec le conditionnel qui s’impose, l’auteure de « Fausses pandémies, vrais mensonges » renvoie à l’étude de Denis Rancourt : selon les extrapolations de ce chercheur canadien, le bilan mondial des campagnes vaccinales contre le Covid serait de 17 millions de décès, soit à peu près le nombre de morts attribués à la maladie par les gouvernementeurs…
10ème MENSONGE : on nous a fait croire que les pouvoirs publics et privés agissaient dans notre intérêt, alors que… l’argent, l’armée et la gouvernance mondialisée sont les trois mensonges par omission des fausses pandémies.
Dans ce dixième et dernier chapitre, Corinne Lalo répertorie plusieurs autres scandales comme l’impunité juridique accordée aux fabricants, l’opacité des contrats signés avec eux, ou encore les indécents revenus que leur a procurés la pseudo crise sanitaire. L’intérêt majeur de la dernière partie du livre réside toutefois ailleurs : l’auteure y explore le rôle central joué par l’armée américaine dans l’ascension de Moderna et dans les alliances tissées par Pfizer. Saviez-vous qu’à travers la DARPA, le Pentagone a financé Moderna depuis 2013 pour développer la thérapie génique appliquée aux vaccins pandémiques ? Saviez-vous que ce laboratoire sorti de nulle part a levé 3 milliards de dollars en décembre 2019 ? Saviez-vous qu’au cours d’un colloque en octobre 2019, le patron de la BARDA, agence US de recherche biomédicale, a déclaré qu’en dehors d’une crise, il serait difficile de faire accepter la technologie à ARN messager ? Saviez-vous que le gouvernement américain est copropriétaire du vaccin Moderna et qu’il a déjà perçu des royalties… royales ? Saviez-vous que le contrat que l’armée américaine a signé avec Pfizer et BioNtech pour la fourniture de leur vaccin anti Covid comporte également un troisième partenaire caché, le géant pharmaceutique chinois Fosun ? Tous ces éléments factuels confirment que la plandémie et sa « seule solution vaccinale » ont germé dans des cerveaux militaires étasuniens et c’est tout à l’honneur de Corinne Lalo de ne pas esquiver cette évidence. Malgré mes bémols, je vous conseille vivement de lire et de faire lire son livre. Si je l’ai gratifiée de quelques coups de griffe, je lui donne surtout un grand coup de chapeau pour ce brillant dézingage du covidisme, maladie mentale apparue voici un lustre et caractérisée par une perte totale de lucidité couplée à l’abandon du plus élémentaire bon sens.
Yves Rasir
La nouvelle technologie ARNm est juste un coup de génie de marketing pour commercialiser des « nouveaux vaccins » en quelques semaines là où il fallait attendre au moins 10 ans. Il a suffi au lobby pharmaceutique de faire reconnaître l’efficacité de la technologie pour pouvoir obtenir la mise sur le marché de nouvelles marchandises dès qu’un virus (nouveau ou ancien) est déclaré coupable chez des individus malades (humains ou animaux) en excluant d’emblée toute autre cause. Cette technologie est tout aussi inefficace que les autres puisque la vaccination est une escroquerie. Est-elle dangereuse ? Sans doute pas à cause du morceau de protéine virale injectée. Selon les fabricants de vaccins eux-mêmes et leurs représentants de commerce, quand on injecte un morceau de virus dans le bras, il est rapidement détruit et éliminé par l’organisme. C’est pourquoi, il est emballé dans du cholestérol (les nanocapsules lipidiques). Celles-ci sont-elles dangereuses ? Sans doute pas plus qu’un morceau de protéine non-emballé dans du cholestérol. Par contre, les polluants ajoutés dans les mixtures pour provoquer une réaction immunitaire sous la forme d’une production d’anticorps, sont sans doute dangereux chez les personnes dont l’organisme ne sait pas les en débarrasser rapidement ! Pour en finir, si un virus injecté dans le bras ne produit aucune « infection », pourquoi un virus ingéré ou inhalé en produirait-il une ? Evidemment que non, et le lobby pharmaceutique le sait parfaitement !