Skip to main content

C’est peu dire que j’apprécie Denis Rancourt, ce scientifique et chercheur interdisciplinaire canadien qui a rué dans les brancards dès l’ouverture du Corona Circus et qui a multiplié les analyses chiffrées pour déconstruire le narratif officiel de la pseudo pandémie. Grâce à ses travaux, souvent publiés en collaboration avec le naturopathe Jérémie Mercier, un large public a pu prendre conscience qu’on le menait en bateau et qu’il n’y avait pas de fléau viral se répandant sur terre et remplissant les cimetières.

Si vous ne connaissez pas cet ancien professeur de physique à l’université d’Ottawa ou si vous avez oublié ses contributions à l’émergence de la vérité, je vous invite à (re)lire l’infolettre que je lui avais dédiée en novembre 2022. À l’heure où les marchands de panique virophobique agitent le spectre d’un nouveau variant asiatique ou veulent nous vendre à tout prix la thèse du coco trafiqué en labo, il n’est certes pas inutile de se rappeler que le cataclysme infectieux n’a pas eu lieu et que ce sont les « solutions » apportées à la fausse crise sanitaire qui ont créé l’illusion d’une catastrophe pandémique.

Depuis cet édito, les graines de lucidité semées par Denis Rancourt ont germé dans divers cerveaux, et notamment dans celui de Pierre Chaillot. Avec l’honnêteté qui le caractérise, le statisticien français reconnaît qu’il doit au chercheur canadien d’avoir ouvert les yeux sur l’invraisemblance du récit covidiste. Comme il l’a expliqué dans la revue Néosanté et développé dans son premier livre, il n’y a aucune trace de la propagation d’un quelconque virus au printemps 2020 puisque les pics de surmortalité sont survenus un peu partout au même moment. Cette synchronicité est totalement incompatible avec le scénario d’une particule virale – naturelle ou artificielle – contaminant progressivement la population mondiale.

Mieux : Rancourt a poussé Chaillot à vérifier si l’absence de causalité infectieuse pour le Covid s’appliquait aussi aux épidémies annuelles de grippe. Bingo : les statistiques grippales démontrent que les flambées épidémiques hivernales se produisent également dans une étroite fenêtre de temps, ce qui contredit l’hypothèse pasteurienne du germe pathogène transmis par contagion depuis un patient zéro. Le vrai coupable reste à identifier mais Pierre a mis en évidence une corrélation ultraforte entre la courbe des températures et celle des syndromes grippaux. C’est quand il fait froid que les êtres affaiblis succombent aux refroidissements, les éventuels virus n’étant que les signaux de l’affaiblissement et non leur facteur causal.

Depuis que Rancourt l’a aiguillé sur la théorie du terrain, Chaillot a encore fait du chemin et il conteste à présent la validité de la virologie, fondée selon lui sur des fraudes méthodologiques. C’est le propos qu’il tient dans une récente émission de sa chaîne et dans le dernier numéro de Néosanté qui vient de sortir (n°156 de juin 2025). Son dossier est en partie inspiré par le dernier ouvrage de Samantha et Mark Bailey, célèbre couple de médecins néo-zélandais qui incitent leurs lecteurs et auditeurs à ne plus croire aux pandémies et à se rendre compte que « le concept de germe contagieux mortel est révolu ».

Dans sa dernière vidéo doublée en français, Samantha Bailey fait aussi un sort à la doxa du gain de fonction en montrant que cette fiction sert à nous enfumer et à dissimuler que l’empereur Pasteur est complètement nu : les vraies causes des maladies sont ailleurs ! Ailleurs, mais où ça ? J’en reviens à Denis Rancourt car j’ai découvert récemment que ce dernier s’intéresse depuis longtemps à la genèse des maladies. Il a même conçu une audacieuse théorie explicative qui vaut le détour.

La maladie comme instrument de pouvoir

Traduite en français et synthétisée ici par un blogueur se faisant appeler No One, cette théorie repose en effet sur un postulat fascinant : ne devant rien au hasard ni à la fatalité, la maladie serait le produit des inégalités sociales gravées au cœur de l’évolution ! Bien sûr, le lien entre précarité et mauvaise santé n’est plus à prouver. Ici en Belgique, une étude de la Mutualité Chrétienne vient encore d’exposer à quel point le statut socio-économique et les revenus déterminent le destin sanitaire des individus : dans les quartiers pauvres, on meurt deux fois plus que dans les quartiers riches et les malades de longue durée sont deux fois et demie plus nombreux parmi les moins nantis.

L’idée maîtresse du Professeur Rancourt, c’est que cette « stratification de la santé » est une loi fondamentale prévalant chez toutes les espèces sociales, des insectes aux mammifères. Chez les singes, par exemple, la place dans la hiérarchie va déterminer la fertilité, la résistance aux maladies et la longévité des différents membres du clan. Idem chez les abeilles, les fourmis ou les oiseaux, où la position dans l’échelle sociale va conditionner la robustesse et la vitalité des individus. Pour Rancourt, l’être humain n’échappe pas à ce système de domination qui est profondément injuste mais qui procure un avantage évolutif aux animaux sociaux. Les structures les plus hiérarchisées ont plus de chances de perdurer sans être renversées.

C’est pourquoi, soutient le chercheur canadien, les élites dominantes vont tout faire pour perpétuer les inégalités. Pour la classe privilégiée détenant le pouvoir, il est important d’avoir un prolétariat en mauvaise santé qui va s’épuiser au travail et qui va mourir jeune en bénéficiant le moins possible de l’allongement de l’espérance de vie. La clé, c’est de maintenir les masses dans un état de vulnérabilité les prédisposant à la maladie. Comment y arriver ? Tout simplement en les stressant.

Selon Rancourt, c’est en effet le stress qui constitue le principal facteur causal des maladies, et non les mauvaises habitudes de vie ou les toxines environnementales. Si ces deux paramètres sont mis en avant par l’establishment médical et les médias, c’est pour mieux occulter le rôle majeur du stress dans l’apparition des pathologies. Le scientifique distingue deux types de stress : le stress externe résultant de l’exploitation et de l’oppression propres aux sociétés stratifiées, et le stress interne généré par l’individu lui-même lorsque le sentiment d’infériorité devient insupportable et qu’il abîme l’image de soi. Le premier stress est destructeur, le second est autodestructeur.

Le covid ou la guerre faite aux plus précaires

Pour Denis Rancourt, le stress sous toutes ses formes (biologique, physiologique ou psychologique) est fortement impliqué dans la genèse des maladies de civilisation comme le cancer et les maladies cardiovasculaires, mais aussi dans les maladies infectieuses. Selon lui, de nombreuses infections respiratoires sont dues à un déséquilibre du microbiome, lequel est plus souvent provoqué par le stress que par des germes transmis de l’extérieur. Il avance que l’industrie pharmaceutique exploite la peur des pathogènes pour promouvoir des traitements et des vaccins alors que le véritable problème de fond serait le stress.

Cette grille de lecture s’applique évidemment à la grande mascarade covidienne. Comme il le relate avec une pointe d’humour grinçant dans cette récente conférence filmée, ce sont bien les mesures sanitaires autoritaires et disproportionnées qui ont engendré de la surmortalité et non les méfaits d’un virus épidémiologiquement introuvable. Si c’était lui le tueur, pourquoi s’est-il arrêté à certaines frontières et a-t-il épargné des régions entières ? Si le Covid est contagieux, pourquoi les pays européens et les États américains ayant peu ou pas confiné ont-ils beaucoup mieux tiré leur épingle du jeu ? Poser ces questions, c’est y répondre : la pandémie virale est une fumisterie totale et tous les décès en excès attribués au corona sont imputables aux politiques suivies par les gouvernements.

Dans ses analyses portant sur les statistiques américaines et canadiennes, le Pr Rancourt a montré que les pics de mortalité ont été enregistrés chez les personnes souffrant d’isolement, vivant dans la pauvreté, peu scolarisées et/ou affligées d’un handicap mental, bref chez les moins favorisés et plus précarisés de nos sociétés dites civilisées. Sous prétexte de protéger les plus vulnérables, les gestionnaires de la prétendue crise sanitaire ont fait exactement le contraire et ont commis un véritable génocide sur les populations les plus démunies et les moins productives. Sur bien des points, le réquisitoire de Denis Rancourt rejoint complètement celui d’Eusèbe Rioché dans son ouvrage « Covid-19 : guerre ouverte contre les peuples ».

Une théorie qui éclaire la persécution du Dr Hamer

Selon cette vision darwinienne, le système en place a donc intérêt à maintenir les foules dans l’ignorance des vraies causes de la maladie et à ne jamais vaincre les maladies. Celles-ci permettent à l’oligarchie de conserver sa dominance sociale et lui offrent un avantage évolutif puisque les plus faibles sont éliminés prématurément. Pour elle, le danger réside dans l’existence des fortes têtes, des indociles et des rebelles qui menacent l’ordre pyramidal établi. C’est pourquoi, peut-on en déduire, notre société hiérarchisée traque impitoyablement les praticiens de santé qui osent remettre en cause la médecine d’école et qui accordent au psycho-émotionnel un rôle central dans les processus pathologiques. Ceux-là ne doivent surtout pas avoir voix au chapitre car leurs idées révolutionnaires saperaient le fonctionnement de la fourmilière humaine.

L’exemple-type du trublion à museler absolument, c’est naturellement le Dr Ryke Geerd Hamer. En découvrant que toute maladie découlait d’un stress aigu prenant l’individu au dépourvu, le médecin et cancérologue allemand introduisait un grain de sable intolérable dans la mécanique oppressive. Il fallait le faire taire et étouffer dans l’œuf sa « médecine nouvelle » dévoilant de surcroît que la maladie est un « programme bien-fondé de la nature » mis en route par le cerveau inconscient à des fins de survie. Le regard évolutionniste du Pr Rancourt permet de comprendre l’ostracisme dont a été victime le Dr Hamer et l’extrême sévérité avec laquelle il a été traité, cette violence institutionnelle l’obligeant à s’exiler en Espagne avant d’être jeté en prison en France puis à s’expatrier à nouveau en Norvège après sa détention.

La théorie du savant canadien éclaire aussi l’acharnement avec lequel l’Ordre des Médecins a pourchassé et continue de persécuter ceux de ses membres qui professent le paradigme hamérien. Le génial Claude Sabbah a été lui-aussi poursuivi pour « exercice illégal de la médecine » et condamné pour « publicité mensongère ». Le regretté Michel Henrard et le valeureux Alain Scohy ont été radiés à vie, ce dernier étant même obligé par la justice de ne plus enseigner et de fermer son site internet. De son vivant, Olivier Soulier était sans cesse convoqué devant ses pairs et menacé d’interdiction de pratiquer. En ce moment même et pour l’énième fois, le Dr Eduard Van den Bogaert doit affronter les foudres de l’Ordre belge saisi d’une plainte téléguidée.

Bref, il est très risqué d’invoquer la responsabilité du stress et de plaider l’innocence des microbes dans l’émergence des maladies. S’il était médecin, Denis Rancourt aurait probablement déjà été banni de la profession et traîné devant les tribunaux. Son discours est d’autant plus subversif qu’il fait le lien entre santé, stress et hiérarchie sociale. Ce n’est pas pour rien que le chercheur a été férocement censuré et que les portes des journaux scientifiques lui sont fermées.

A contrario, il devient très visible qu’une large frange de la résistance anticovidiste est sous contrôle. Tant qu’ils se soumettent aux dogmes de la religion pasteurienne et qu’ils incriminent les virus (couronnés ou non, manipulés ou pas) et leurs protéines pointues, les dissidents sont parfaitement inoffensifs. Si l’on veut vraiment faire bouger les choses, il faut cesser d’écouter des gars comme Christian Perronne, Didier Raoult ou Jean-Marc Sabatier, et prêter l’oreille à des critiques du pasteurisme comme les époux Bailey, Pierre Chaillot ou Denis Rancourt. C’est du moins mon avis de journaliste engagé dans cette lutte de libération depuis plusieurs décennies.

Yves Rasir

Laisser un commentaire