ARN synthétique ? ADN contaminant ? Protéine spike ? Virus de singe ? Oxyde de graphène ? Nanorobots ? Depuis bientôt 5 ans, les scientifiques vaccinocritiques multiplient les hypothèses sur la toxicité de l’injection génique expérimentale et sur l’identité des ingrédients à l’origine de ses graves et multiples effets secondaires. Le box des accusés déborde mais on oublie souvent d’y inclure un composant dont la présence est avérée et la nocivité bien démontrée : les nanoparticules lipidiques, ou NPL.
Pour rappel, les NPL sont des capsules nanométriques (un nanomètre = un millionième de millimètre) conçues pour transporter l’ARN messager et lui permettre d’atteindre les cellules des vaccinés sans être dégradé. Ce sont de minuscules vésicules sphériques composées de lipides naturels (cholestérol, phospholipides) et de graisses synthétiques (ALC-3015, ALC-0159…) aux noms chimiques très compliqués. Ces petites billes huileuses sont en quelque sorte les véhicules blindés des acides nucléiques : sans elles, l’ARN injecté serait immédiatement détruit par l’immunité innée.
C’est dire si leur rôle est crucial et si leur fabrication est essentielle aux nouvelles nanotechnologies vaccinales. Pour les vaccins covid, ce sont d’ailleurs les géants GSK et SANOFI qui se sont chargés de fournir les NPL aux autres laboratoires. Big Pharma s’est partagé le gâteau et chacun a eu sa part. Comme je l’avais souligné en 2020, il est très étrange que GSK ne se soit pas lancé dans la fabrication d’un vaccin « classique » à virus vivant ou atténué. Tout s’est passé comme si cet acteur majeur devait absolument s’effacer au profit de Pfizer et Moderna. Sous le chapiteau du Coronacircus, les numéros étaient visiblement rodés bien à l’avance.
Il est vrai que GSK a de l’expertise à revendre en tant que fabricant et marchand d’huile. Il y a 16 ans, lors de la fausse pandémie A/H1N1, la multinationale britannique avait développé un vaccin (le Pandemrix) précisément basé sur l’adjonction de squalène, une substance huileuse tirée du foie de requin. En 2009, la matière grasse faisait office d’adjuvant, c’est-à-dire de produit ajouté pour renforcer la réaction immunitaire du corps face à l’antigène vaccinal. Cette fois-ci, le mélange d’huiles a pour mission d’amener son passager messager à bon port. Mais le point commun des deux méthodes, c’est d’introduire des particules lipidiques dans l’organisme. Et c’est bien là le problème !
La leçon du squalène n’a pas été retenue
Qu’elle vienne d’animaux ou de végétaux, l’huile qu’on avale est évidemment comestible. Le système digestif passe les composants à la moulinette et en exploite les molécules qui l’intéressent. Sauf contrefaçon, pas d’intoxication à craindre. Composés de phospholipides, les liposomes pharmaceutiques absorbés par voie orale suscitent peu d’inquiétude et les vitamines consommées sous forme liposomale sont généralement bien tolérées. Mais qu’en est-il lorsque les sphères de graisse sont injectées sous la peau ou dans le muscle au moyen d’une seringue ? Il y a 16 ans, les résistants à l’hystérie de masse ont rapidement soupçonné le squalène d’être un produit dangereux lorsqu’il est administré de cette façon. Et ils avaient bien raison !
Peu s’en souviennent, mais c’est en effet l’adjuvant huileux du Pandemrix qui a fait de gros dégâts : il a provoqué des centaines, voire des milliers de cas de narcolepsie. Cette maladie incurable a pour symptôme principal une somnolence excessive pendant la journée et des accès soudains et incontrôlés de sommeil, souvent accompagnés de cataplexie (perte de tonus musculaire). Ce trouble neurologique peut être mortel si le besoin irrépressible de dormir survient au volant ou pendant une autre activité exigeant de la vigilance. Lorsqu’il n’a pas tué, le vaccin a en tout cas gâché la vie de ses nombreuses victimes. Dans sa thèse de doctorat défendue en 2018 à l’université de Lyon et intitulée « Réalité des risques liés aux adjuvants vaccinaux : exemple des maladies auto-immunes », la pharmacienne Marie-Anne Charrière raconte cette triste histoire et passe en revue les études étayant la responsabilité du Pandemrix. Le lien causal est plus que probable puisque les autres vaccins développés à la hâte contre la grippe porcine n’ont pas accru l’incidence de la narcolepsie.
Malheureusement, la leçon n’a pas été retenue et les responsables de ce gâchis n’ont pas été inquiétés. Je pense notamment à Mme Laurette Onkelinx, Ministre belge en charge de la Santé à l’époque. Sur un plateau télé, elle avait brandi un pot de squalène acheté dans un magasin bio et affirmé que ce produit était forcément dépourvu de toxicité puisqu’on le trouvait en vente libre. Cette éminence ne faisait pas la différence entre un complément alimentaire et un adjuvant inoculé par effraction de la peau ! Suite à cette sortie lunaire, j’avais suggéré à la Ministre de se faire aussi injecter dans le bras du vin de Bordeaux ou de l’huile d’olive, histoire de voir si ces autres produits sains lui faisaient également du bien. Elle n’a pas relevé le défi et elle a déroulé le tapis rouge à GSK, avec les conséquences que l’on connaît aujourd’hui. Cette irresponsable politique devrait croupir en prison au lieu de profiter d’une confortable retraite dans sa luxueuse villa voisine du siège de GSK….
Des effets délétères en pagaille
Parce qu’elles sont miniaturisées, les nanoparticules lipidiques sont considérées comme peu toxiques par la communauté scientifique concernée par leur « vectorisation » aux fins de délivrer un antigène ou un médicament. C’est ce qui ressort notamment de cette autre thèse de doctorat, dont l’auteure, biologiste, soutient que les NPL sont sûres et efficaces et que ses expériences en « confirment l’innocuité ». Joint par téléphone, le toxicologue Jean-Paul Bourdineau n’est pas aussi formel. S’il absout complètement les lipides naturels, l’auteur de « La science outragée » est plus méfiant envers les « faux lipides » artificiels composant le cocktail. Néanmoins, le microbiologiste universitaire estime que les nanocapsules sont beaucoup moins problématiques que leur contenu : pour lui, c’est la protéine spike qui constitue le péril majeur. Il a été un des premiers à crier au fou lorsqu’il a vu arriver les vaccins destinés à stimuler leur production par le corps humain.
C’est aussi le langage que tient Jean-Marc Sabatier, directeur de recherche au CNRS et véritable « étoile montante » de la dissidence. Dans son livre « Covid long et effets indésirables du vaccin », le lanceur d’alerte défend longuement l’idée que la protéine de pointe, virale ou vaccinale, perturbe gravement le système rénine-angiotensine, lequel SRA régule quasiment toutes les fonctions de l’organisme. Dans ce livre centré sur la spicule pointue, Sabatier a toutefois inclus un chapitre intitulé « Les effets délétères des nanoparticules lipidiques des vaccins à ARN messager ». En voici trois extraits édifiants :
1) (…) « Aux dommages plus ou moins sévères causés par la protéine spike vaccinale, sont venus s’ajouter les risques supplémentaires d’effets indésirables attribués à l’utilisation de nanoparticules lipidiques impliquées dans l’inflammation, la stress oxydatif, l’apoptose (mort cellulaire programmée) ou la génotoxicité (capacité d’une substance ou d’un agent à causer des dysfonctionnements et une altération de l’ADN d’une cellule, ce qui peut entraîner des mutations génétiques et déclencher des maladies). Au-delà de ces mécanismes biologiques, les nanoparticules lipidiques peuvent également déclencher une réaction allergique chez certaines personnes sensibles souffrant d’allergies graves. Cela signifie qu’environ une personne sur un million injectée avec le vaccin Pfizer-BioNTech développe un choc anaphylactique (réaction allergique sévère et potentiellement mortelle). » (…)
2) (…) « Certains types de nanoparticules lipidiques sont susceptibles de franchir des barrières biologiques pour causer des dommages sur des organes tels que le cerveau, les reins, le foie, la rate, les ganglions lymphatiques, les muscles et les organes reproducteurs. Ces derniers organes sont particulièrement touchés puisqu’il est avéré que les nanoparticules lipidiques peuvent affecter les organes reproducteurs masculin et féminin en traversant les barrières hémato-testiculaire, placentaire et épithéliale pour s’accumuler dans les organes reproducteurs, et les endommager en détruisant les cellules de Seroli et de Leydig, ainsi que les cellules germinales. » (…)
3) (…) « Les recherches menées par Qin et ses collaborateurs de l’Université Thomas Jefferson aux États-Unis ont mis en évidence les effets indésirables provoqués par des nanoparticules lipidiques seules (NPL) ou combinées à des ARNm (ARNM-NPL). Leurs travaux démontrent que l’exposition des souris à ces NPL ou ARNm-NPL affecte leurs systèmes immunitaires inné et adaptatif, pouvant conduire à une inhibition à long terme des réponses immunitaires. » (…)
Ce troisième extrait apporte une information à mon sens capitale : dans leur étude, Qin et ses collaborateurs fournissent la preuve que les NPL peuvent déclencher à elles seules la cascade d’événements délétères attribués à l’ARNm et à la protéine Spike ! Autrement dit, le véhicule nanolipidique nuit gravement à la santé même lorsqu’il est vide d’occupants nucléiques. Autrement dit encore, il n’est pas nécessaire d’avoir du matériel biologique encapsulé pour que les capsules huileuses occasionnent les immenses dégâts énumérés dans les deux premiers extraits.
Cela signifie que la piste toxique se suffit à elle-même et que les disciples de Pasteur nous embrouillent avec la protéine de pointe. Celle-ci est d’ailleurs présente dans les tous les coronavirus, notamment ceux associés au rhume, et dans des tas d’autres virus inoffensifs. Pourquoi en faire l’ennemie publique numéro 1 alors que la mixture graisseuse inoculée est bien plus suspecte de nuire aux vaccinés ? En moins de 10 minutes, j’ai trouvé sur le net plusieurs articles scientifiques confirmant que les NPL peuvent s’accumuler dans le corps, provoquer de vives réactions inflammatoires et causer des « interactions biologiques indésirables », selon la formule euphémistique d’une intelligence artificielle. Dans cet article-ci, rédigé en 2023, l’auteur souligne que les premières nanoparticules lipidiques pour vaccins ont été mises au point en 2018 et que la recherche balbutiante sur leurs effets négatifs comporte toujours des brèches béantes. N’était-il pas totalement prématuré de les autoriser en 2020 ?
Une bombe nucléaire larguée sur les ovaires
Je me posais cette question il y a une dizaine de jours lorsque j’ai reçu une nouvelle choquante : une jeune fille de ma famille a dû passer une nuit aux urgences suite à la rupture d’un kyste ovarien mesurant pas moins de 5 cm. Cet éclatement kystique est extrêmement douloureux et potentiellement fatal car il peut s’accompagner d’une hémorragie interne importante. Or cette demoiselle, sportive semi-professionnelle, a été obligée de recevoir 3 doses du vaccin Pfizer pour continuer à pratiquer son sport. Or l’apparition de kystes aux ovaires et même d’un ribambelle de kystes (le Syndrome des Ovaires Polykystiques) a été maintes fois signalée par les vaccinées. Ces troubles forment tout un chapitre du livre de témoignages recueillis par Mélodie Fairon et l’association « Où est mon cycle ? ». Plusieurs soignants belges m’ont confirmé que les cas de SOPK avaient décuplé dans leur patientèle depuis le démarrage des campagnes vaccinales anticovid.
La faute aux NPL ? Je me posais cette seconde question lorsque j’ai reçu « par hasard » le dernier article de Mike Yeadon, l’ancien directeur scientifique des laboratoires Pfizer. Depuis 2020, ce lanceur d’alerte de la première heure s’inquiète de la toxicité des injections pour les organes reproducteurs, et particulièrement pour les ovaires. Et depuis le début de l’empoisonnement vaccinal, Mike Yeadon met en exergue la nocivité des nanoparticules lipidiques. Difficile de lui donner tort en parcourant les sources de son article. Toutes les études qu’il cite montrent que les NPL se « biodistribuent » préférentiellement dans les ovaires et qu’elles y sèment la pagaille. Incroyable mais vrai, cette étude de 2012 indique que le tropisme ovarien des nanovecteurs est connu depuis leur invention et qu’on a donc balancé aux orties le principe de précaution.
Pour Mike Yeadon, il ne fait pas de doute que les vaccins covid à ARNm ont été développés pour blesser, tuer et affecter grièvement les facultés reproductives des survivant(e)s. Comme je l’ai expliqué dans ma lettre « Les injections, instrument de dépopulation », je ne verse pas dans ce complotisme catégorique et je conserve à l’esprit l’éventualité que l’impact dramatique des vaccins géniques sur la fertilité et la natalité n’a pas été prémédité. L’histoire médicale regorge de techniques et de substances utilisées en toute confiance avant qu’on s’aperçoive de leurs méfaits épouvantables.
Il n’en demeure pas moins que la vaccination a indéniablement dévasté la capacité de reproduction. Tout dernièrement, une étude menée en Tchéquie a mis en évidence que les femmes vaccinées procréent nettement moins que les non-vaccinées : chez les premières, le taux de « grossesses réussies » est 30% inférieur ! Dans une autre étude récente effectuée en Israël, les chercheurs ont relevé une augmentation anormale des pertes fœtales chez les femmes enceintes injectées. Les indices de culpabilité deviennent tellement nombreux qu’ils ne pourront plus être ignorés très longtemps malgré l’omerta des médias mainstream.
À l’heure qui court, je ne sais pas si la jeune fille de ma famille ayant explosé un kyste ovarien fera partie des femmes privées de la possibilité d’enfanter. Je nourris au contraire l’espoir que cette violente expulsion de sang vicié enkysté soit le signe d’une guérison définitive, ce qui serait conforme aux lois biologiques définies par le Dr Hamer. Si ce n’était pas le cas et si les kystes revenaient en compromettant sa santé et ses chances de maternité, croyez bien que je me battrais pour faire reconnaître le dommage et faire en sorte que le crime ne reste pas impuni. Car qu’il s’agisse des NPL ou d’un autre ingrédient pathogène, il crève désormais les yeux que la campagne mondiale d’injections géniques expérimentales s’est apparentée à une vaste entreprise criminelle. Et la place des criminels, c’est derrière les barreaux.
Yves Rasir