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LE SENS BIOLOGIQUE DE LA MALADIE

By 1 mai 2011mars 2nd, 20233 Comments

De plus en plus de monde en parle. Mais de quoi s’agit-il ? Des auteurs à succès, comme Thierry Janssen, posent la question : la maladie a-t-elle un sens ? Alors que d’autres médecins et chercheurs sont déjà allés beaucoup plus loin dans la réponse à cette question et ont démontré, avec des milliers de guérisons à
l’appui, que, non seulement
la maladie en général a bien un sens, mais que chaque maladie particulière a un sens particulier.
C’est dans notre cerveau inconscient, ce super ordinateur, programmé exclusivement en terme biologique de survie, que nous allons trouver la clé subtile qui ouvre la porte à la compréhension d’une des plus belles logiques du vivant qui soit. Mise en pratique, cette nouvelle connaissance donne des outils pour décoder les fictions qui nous gouvernent et évoluer vers la santé globale.

Il faut rendre à César ce qui appartient à César. Bien sûr, l’histoire de la découverte du sens biologique des maladies appartient à de nombreux savants qui ont chacun apporté une pierre à l’édifice et il y a eu des précurseurs qui sont évoqués dans plusieurs livres sur le sujet, tel Henri Laborit, dont les recherches ont été mises en pleine lumière par Alain Resnais dans son film Mon oncle d’Amérique ». Mais il est incontestable que c’est au médecin allemand Ryke Geerd Hamer que revient le grand mérite d’avoir été le premier à étudier la question de manière globale et approfondie et à en avoir élaboré une théorie vérifiable, reproductible et qui puisse constituer la base d’un enseignement, donc transmissible pour le bien de tous.

Rendre à Hamer…

La compréhension du sens de la maladie commence bien évidemment par… une maladie  ! Et pas n’importe laquelle, une des plus redoutées au monde : le cancer. En effet, suite au décès soudain de son fils de 19 ans Dirk, le docteur Hamer « attrape » un cancer aux testicules. Il se dit, comme nous parfois lorsque nous « tombons » malade après un événement dramatique, que ce n’est pas possible que cette maladie, qui touche justement l’organe de son corps chargé de la fonction de reproduction, ne soit pas en lien avec le choc émotionnel qu’il vient de vivre. Il se rend dans l’hôpital où il travaille, en Allemagne, pour consulter les dossiers de patients atteints d’un cancer et il va constater que tous évoquent la survenue d’un événement dramatique dans leur vie quelque temps avant l’apparition de leur cancer. « Le DHS », Dirk Hamer Syndrome, c’est-à-dire le choc brutal vécu dans l’isolement créant un sur-stress ingérable par notre psyché et qui est à l’origine de tout cancer, vient d’être découvert. C’est de là que tout est parti, la machine de l’exploration du sens biologique des maladies était lancée et d’autres grands médecins et chercheurs, passionnés de guérison, tels les français Claude Sabbah et Gérard Athias, vont par la suite prendre connaissance des découvertes de Hamer, les développer, les approfondir, les mettre en relation avec d’autres travaux, comme ceux de Marc Fréchet.

La logique bio

Nous avons la grande chance d’avoir dans la tête un cerveau. L’Homme a le plus gros cerveau qui soit parmi tous les êtres vivants. Il y a d’une part le cerveau conscient, la pensée, qui en constitue une petite partie. Mais il y a surtout le cerveau inconscient, qui occupe la plus grosse partie et dont la fonction est de gouverner le corps. Chaque organe est relié à un foyer de neurones qui le dirige. Par exemple, lorsque nous courons, le foyer de neurones chargé de faire battre le cœur lui donne l’ordre de battre plus vite. Lorsque nous avons mangé, c’est tout un travail d’équipe qui se met en place dans le cerveau pour donner aux nombreux organes de la digestion les ordres adéquats pour le passage et la digestion du bol alimentaire, de l’estomac à l’anus. On pourrait comparer le cerveau inconscient à un super ordinateur, un computer encore bien plus puissant et plus performant que ceux que les hommes ont inventés.
La chose la plus importante à comprendre et qui est le cœur du cœur de la réalité du sens biologique des maladies et autres dysfonctionnements, c’est que ce cerveau inconscient, ce super ordinateur, est programmé exclusivement en terme biologique de survie. Son boulot, c’est, tout au long de notre vie, de trouver des solutions pour que nous soyons en vie, instant après instant, le plus longtemps possible. Il fait des milliards de calculs, en fonction des informations qu’il reçoit de l’univers par nos sens, et aussi de notre pensée, et il en ressort des programmes de survie qu’il applique là où il peut, c’est-à-dire dans notre corps, puisque notre cerveau ne peut agir que sur notre corps et non sur ce qui lui est extérieur. Quelle grande et bonne nouvelle  ! Vous ne trouvez pas ? Nous avons la chance d’avoir en nous cet outil extraordinairement performant qui veille sur nous tout le temps sans que nous ayons besoin de rien faire, ni même de penser  ! Merci mon cerveau inconscient  ! Et bravo pour tout ce que tu as réussi depuis le premier être humain jusqu’à moi, pour toutes ces solutions de survie que tu as trouvées de génération en génération, sans quoi je n’existerais pas.

L’infaillibilité vitale

Et ce n’est pas tout, car non seulement le cerveau trouve des solutions de survie, mais en plus il ne se trompe jamais, il est parfait, il prend toujours, en fonction des informations qu’il reçoit, la bonne solution, la meilleure pour notre survie. Un exemple très simple va nous aider à le comprendre. Vous êtes en ville sur un boulevard et vous voulez traverser la chaussée. Si, lorsque vous vous engagez sur celle-ci, votre cerveau enregistre l’information qu’un bus arrive vers vous à vive allure, vous allez avoir ce qu’on appelle un réflexe de survie : votre cerveau inconscient, dans l’instant même, va donner l’ordre à vos muscles d’agir d’urgence et vous allez vous jeter en arrière pour revenir sur le trottoir que vous venez de quitter. Le bus passe et vous avez la vie sauve. Votre cerveau inconscient – car tout cela est resté inconscient, vous n’avez pas eu le temps de penser l’acte avant de le faire, – a joué son rôle. Imaginons maintenant que vous êtes plus avancé sur la chaussée, vous êtes presque arrivé sur le trottoir d’en face lorsque votre cerveau enregistre le même stress : un bus fond sur vous. Vous n’allez pas avoir le même réflexe de survie car, si vous vous jetez en arrière, vous restez en danger sur la chaussée : dans ce cas, la solution de survie qui sera donnée par le cerveau inconscient, dans l’instant même, ce sera de vous jeter en avant pour rejoindre le trottoir d’en face, le bus passe derrière vous et vous avez la vie sauve. A chaque fois, à chaque instant, tout au long de la vie, en fonction des informations qu’il reçoit, le cerveau prend toujours la bonne solution, la seule qui soit parfaite pour notre survie. Quelle chance, oui vraiment, quelle chance, et encore merci mon cerveau pour toutes les fois où tu m’as sauvé la vie.

La maladie, solution parfaite

On a longtemps cru que la maladie était une chose moche et sale qu’on « attrape » pour Dieu sait quelle raison, une sorte de fatalité venue de l’extérieur, qui s’abat sur nous, et personne ne s’inquiétait trop de savoir pourquoi l’une faisait des angines et son voisin des rhumes. Comme si tout cela n’avait aucun sens et était dû au hasard. Or il n’y a pas de hasard. Le hasard n’existe pas. Tout a un sens car tout ce qui est vivant est gouverné par une logique de survie. Si on essayait de regarder la maladie autrement…
Puisque le cerveau inconscient dirige tout le corps et qu’il est programmé en terme biologique de survie, chaque maladie qui arrive dans un organe du corps est donc elle aussi une solution de survie, envoyée par le cerveau inconscient dans l’organe, parce que, en cet instant-là, en fonction des informations qu’il reçoit de l’univers par nos sens et de notre pensée, il vaut mieux mettre cet organe-là en maladie pour notre survie, pour nous décharger d’un sur-stress global qui peut être mortel. Et puisque le cerveau est parfait, il ne se trompe jamais, la maladie en question ne sera pas « choisie » au hasard, elle sera très précisément, avec une précision de laser, la solution parfaite au sur-stress émotionnel vécu par la personne.

Exemple animal

Un exemple dans le règne animal va nous aider à y voir clair. Prenons un renard qui vit dans la nature sauvage. Il a tué un lièvre pour se nourrir et s’apprête à le dévorer lorsqu’arrive un concurrent, il avale vite un gros morceau, une patte entière sans la croquer, pour ne pas le laisser à l’autre. Notre renard va à ce moment se trouver dans une situation de grand stress : il a dans l’estomac un morceau très indigeste, il lui faudra très longtemps pour le digérer par l’action des cellules digestives et il risque de mourir d’inanition car il ne pourra plus se nourrir. Le chronomètre de la survie est enclenché. L’information arrive au cerveau inconscient et celui-ci doit trouver une solution de survie. Quelle sera-t-elle ? La seule qui sera parfaite pour lui sauver la vie. Un rhume, une grippe, une sclérose en plaques, un cancer des poumons, une dépression, ? Non, toutes ces solutions seraient inefficaces. Même un ulcère à l’estomac, ça ne suffirait pas. Il va avoir la seule maladie qui puisse lui permettre de digérer ce morceau indigeste rapidement, à savoir un bon cancer de l’estomac. Son cerveau va donner l’ordre aux cellules digestives de l’estomac de muter et de devenir cancérigènes. On a fait des tests en laboratoire pour mesurer la capacité de digestion des cellules cancérigènes et des cellules normales de l’estomac, la conclusion est très nette : les cellules cancérigènes peuvent digérer le morceau 10 fois plus vite  ! Un cancer à l’estomac, c’est mettre le turbo pour digérer le morceau. Ainsi, notre renard, au lieu de mettre 40 jours, grâce à sa tumeur, il ne mettra que 4 jours pour digérer sa patte avec de l’os, des poils, des ongles, etc. Ensuite, l’information de la solution du conflit arrivera à son cerveau, il sentira qu’il peut se réalimenter et, à l’instant même, le cerveau enverra l’ordre d’arrêter le programme cancer puisqu’il n’a plus de sens dans la logique de survie. Quand cela n’a plus de sens en terme de survie, le cerveau inconscient arrête le programme « maladie » et il passe au programme « guérison ». De la même manière, dans l’exemple précédent, lorsque vous avez traversé la chaussée sain et sauf et que vous vous promenez tranquillement dans le parc qui se trouve de l’autre côté, votre cerveau ne vous envoie plus l’ordre ni de vous jeter en arrière, ni de vous jeter en avant. Car cela n’a plus de sens.

Le passage à l’état de maladie

La vie, c’est le conflit. N’espérez pas vivre sans conflit, ce sera pour quand vous serez morts. L’existence même de l’univers n’est-elle pas le fruit d’un énorme conflit entre matière et antimatière ? Nous sommes à peine levés que les conflits commencent, le réveil, le départ au travail, les embouteillages, les enfants, le couple, le directeur, les collègues, les voisins, etc. Mais dans la plupart des cas, il ne s’agit que de petits conflits psychologiques : nous arrivons assez vite à les solutionner avec notre corps et notre pensée et nous ne sommes pas malades. Au lieu d’essayer d’échapper aux conflits, ce qui est une illusion, il vaut d’ailleurs mieux travailler à devenir un(e) expert(e) en résolution de conflits.
Certains conflits sont plus importants que d’autres, ils vont être à l’origine d’un sur-stress, soit parce qu’il s’agit de gros conflits inhabituels, par exemple si, comme le docteur Hamer, vous perdez un enfant, le plus grand stress personnel qui soit, soit parce qu’ils viennent réveiller une mémoire dramatique encodée dans votre inconscient, mémoire personnelle, par exemple d’un drame vécu dans l’enfance, ou mémoire familiale d’un grand stress vécu par les parents pendant la période où ils vous concevaient ou par d’autres membres du clan familial auxquels vous êtes reliés et dont vous avez hérité des programmes biologiques de survie. En effet, pour être aussi performant, le cerveau inconscient mémorise et garde la trace de tous les événements où la survie est en jeu pour retenir les bonnes solutions de survie et qu’elles soient utiles dans le futur. Dans ce cas, le conflit passe en biologie et c’est une maladie ou un dysfonctionnement qui va apparaître dans un organe du corps comme solution au conflit initial. La maladie va donc dépendre du type de conflit vécu par la personne, puisqu’elle est chargée de
le solutionner. Elle va dépendre aussi du ressenti de la personne.

L’importance du ressenti

Nous sommes en effet tous différents et, si vous prenez 10 personnes qui vivent le même conflit, par exemple surprendre son conjoint en flagrant délit d’adultère, elles ne vont pas toutes avoir la même maladie. Il y en a d’ailleurs qui ne seront pas malades, par exemple celle ou celui qui n’aime plus son conjoint et voulait justement le quitter. Parmi les autres personnes, ce choc pourra déclencher diverses maladies en fonction du ressenti de chacun(e). Celle qui est une « digestive » par exemple, ressentira cet événement comme un « morceau » particulièrement difficile à digérer, fera une pathologie digestive et l’organe qui sera atteint dépendra des fines tonalités de son ressenti. Celui qui est plus territorial » ressentira le stress comme une importante perte de territoire amoureux, ce qui donnera d’autres maladies. Et ainsi de suite. Le travail énorme qui a été fait par Hamer, Sabbah, Athias et les autres, c’était de trouver, par rapport à chaque maladie ou dysfonctionnement, à quel type de conflit et de ressenti cela peut correspondre, ce qui permet un travail de décodage rapide et fin, et donne à chacun des outils exceptionnellement riches pour comprendre la logique de sa maladie. Les termes de règles », lois » ou invariants » ont été souvent utilisés pour définir ce qu’il est peut-être préférable d’appeler des pistes, car chaque cas est particulier et le grand art du décodage biologique c’est, conformément à la maïeutique de Socrate, d’aider chaque patient à accoucher » de sa » guérison et à découvrir comment lui, dans son histoire personnelle et familiale, unique, qui ne ressemble à aucune autre, il entre dans cette logique biologique de survie.

Exemples de maladies

Voici quelques exemples de maladies : à quoi pourraient-elles être la solution parfaite ?
– Le cancer de l’estomac, nous l’avons vu : pour permettre de digérer rapidement un morceau (réel, imaginaire, symbolique ou virtuel) récent très indigeste.
– La myopie : pour utiliser toute la capacité visuelle pour mieux voir de près car c’est là que se trouve le danger (et l’inverse pour l’hypermétropie).
– Le cancer des ovaires ou des testicules : pour créer des cellules turbo capables de recréer ce qui a été dramatiquement perdu.
– Le cancer des poumons : pour se faire un super poumon quand on voit fondre la mort sur soi.
– La migraine : pour ne plus penser car notre pensée est incapable de faire des bons plans.
– La cystite : pour mieux marquer son territoire par l’urine.
– La paranoïa : pour ne plus courir le risque de se faire avoir, car tout est dangereux.
– Le cancer du sein : pour faire un super nid car dans le sien il y a un drame avec l’enfant ou le mari.
– Le diabète : pour avoir plus de sucre dans le sang et mieux résister à tout.
– Le mélanome : pour faire une carapace protectrice.
– L’hyperthyroïdie : pour aller plus vite pour attraper le morceau.
– L’infarctus du myocarde mortel : pour éliminer le vieux » qui ne veut pas laisser la place, qui n’accepte pas de perdre son territoire. Ici c’est un cas particulier, car la solution de survie n’est pas individuelle, mais collective : c’est la survie du clan et de l’espèce qui prime, quitte à ce que l’individu meure.

Les quatre niveaux conflictuels

Tout est relatif, sauf le conflit. C’est la seule règle biologique absolue : pas de maladie sans conflit, où la survie est en jeu, à son origine. Tout le reste peut varier, d’une histoire familiale à l’autre. Pour faire un travail de guérison en profondeur, il est nécessaire de s’intéresser à plusieurs périodes durant lesquelles les conflits peuvent apparaître.

Il y a tout d’abord la période qui précède l’arrivée de la maladie, le passé récent, les jours, semaines, voire mois avant l’apparition des symptômes et le diagnostic de la maladie. Quel conflit important aurait été vécu, soudainement, ressenti avec un sur-stress, dans la solitude, tout en restant dans l’inhibition de l’action, ce qui aurait pu déclencher la maladie ? Est-ce que ce conflit est toujours actif ou solutionné ? Car il y a des maladies qui apparaissent en cours de phase active de conflit et d’autres qui apparaissent après la solution du conflit, lors de la réparation de l’organe concerné. Trouver ce conflit, et le cas échéant le solutionner, permettra déjà une amélioration voire la guérison, mais pour une guérison complète ou éviter les rechutes, il est nécessaire d’aller voir ce qui s’est passé avant et ce qui a été encodé dans le cerveau inconscient, sinon le disque dur de l’ordinateur jouera toujours les mêmes programmes.

Dans l’enfance, l’adolescence et le début de la vie d’adulte, on cherchera les conflits personnels programmants, qui n’ont pas déclenché la pathologie à ce moment, mais ont sensibilisé l’être vivant. Ce sont comme des bombes à retardement, prêtes à éclater lorsque plus tard il vivra un conflit du même type, qui, dans le représenté cérébral, sera relié au (x) précédent(s). Dans la période périnatale, de 18 mois avant la naissance, jusqu’à la fin de la première année, on cherchera les conflits parentaux dont le nouvel être vivant va s’imprégner, au point que le sens de sa vie future sera de réaliser tous les projets inconscients de ses parents et de solutionner les conflits qu’ils n’ont pu solutionner. Enfin, dans la mesure du possible, on ira voir dans les mémoires familiales généalogiques quelles sont les solutions trouvées par nos ancêtres, particulièrement lors des périodes où la survie est en jeu – guerre, émigration, famine,… – qui ont encore une résonance en nous aujourd’hui. Merci à tous mes ancêtres pour toutes les bonnes solutions de survie que vous avez trouvées et que vous m’avez transmises. Mais celle-ci, celle qui est à l’origine de ma maladie, je n’en ai plus besoin, elle peut sortir du clan familial car elle n’a plus de sens.

Le passage en guérison

La maladie c’est bien, merci, me direz-vous, mais la guérison c’est encore mieux. Et vous aurez raison. La maladie n’est pas faite pour durer. Elle est là pour décharger l’individu d’un sur-stress général en le diminuant, le détournant, le ramenant à un stress localisé qui permet la survie. Mais l’apparition de la maladie est elle-même un élément générateur de nouveaux conflits et dans la plupart des cas d’une dépression d’accompagnement. Vive la maladie, mais surtout vive la guérison.
Le passage en guérison se fait exactement à l’inverse du passage en maladie. C’est comme un interrupteur qui était sur « on » et qui passe sur « off ». Les conditions pour y arriver sont d’une part de trouver, avec la certitude absolue, quels sont les conflits à l’origine de la maladie, ensuite de solutionner les conflits qui seraient actifs, une démarche qui dépend uniquement du patient, c’est son choix et sa liberté de le faire ou non et de choisir telle solution plutôt que telle autre, car il y en a souvent plusieurs. Enfin lorsque l’information arrive au cerveau de la solution du conflit, il y a basculage immédiat, dans l’instant même, en guérison, guérison automatique par le cerveau inconscient parce que, quand la maladie n’a plus de sens, elle s’arrête. Commence alors la guérison de l’organe qui était malade, ce qui nécessite du repos et crée des symptômes qui peuvent être douloureux dans certains cas, pouvant faire douter le patient et le faire sortir de la certitude absolue, véritable ciment de la guérison.

La maladie = le mal a dit

Ecoute, regarde, découvre ce que te dit ton mal, il te dit tout. Telle pourrait être la première conclusion de ce voyage au cœur du sens biologique des maladies. L’examen biologique de chaque pathologie, en tenant compte de la fonction de l’organe concerné, de ce qui se passe dans la physiologie au cours de la maladie et aussi de la symbolique, permet de trouver le sens des maux. Comprendre, grandir, puisqu’il s’agit souvent de mémoires anciennes et de deuils à terminer, et puis guérir. En apprenant à utiliser sa pensée, pour envoyer des mots guérisseurs vers le cerveau inconscient. La puissance du verbe est importante et nous appartient. Un mot peut nous faire tomber malade. Lorsqu’on l’a trouvé, le mot maladisant, on a plus de chances de trouver le mot guérisseur. Car un mot peut aussi nous faire guérir. Apprenons les bons mots qui soulagent les maux.

Exerçant la profession de juriste, Bernard Tihon s’est intéressé au sens des maladies pour des raisons de santé personnelle. Sa guérison l’a entraîné à poursuivre son apprentissage en suivant de nombreux séminaires de formation. Ex-collaborateur du magazine Bioinfo, il est aujourd’hui le collaborateur principal de la revue Néosanté. Il est l’auteur, aux éditions du même nom, du livre « le sens des Maux »

En savoir plus

Quelques ouvrages sur le sujet :

-Robert GUINEE, « Les maladies, mémoires de l’évolution »,
Disponible sur notre boutique Néosanté

-Gérard ATHIAS, « Les racines familiales de la mal a dit » tomes 1, 2 et 3, éditions Pictorus – Disponible sur Rakuten

-Eduard VAN DEN BOGAERT et asbl Téligaté, « Dictionnaire des codes biologiques des maladies ». Disponible sur le site de l’ASBL Téligaté

-Alain SCOHY, « Guide des maladies ». Disponible sur son site.

-Léon RENARD, « Le cancer apprivoisé », éditions Quintessence.
Disponible sur Rakuten ici et ici

-Bruce H. LIPTON, « Biologie des croyances », éditions Ariane.
Disponible sur Rakuten

-Jean-Jacques CREVECOEUR, « Le langage de la guérison », éditions Jouvence.
Disponible sur Rakuten

-Anne ANCELIN SCHÜTZENBERGER, « Aïe, mes aïeux  ! », éditions La Méridienne Desclée de Brouwer. Disponible sur Rakuten

-Olivier SOULIER, « Histoires de vie – messages du corps ».

-Christian FLECHE, « Décodage biologique des maladies »
Disponible sur Rakuten en version papier ou en version numérique sur Rakuten.

et  « Mon corps pour me guérir », éditions Le souffle d’or.
Disponible en version papier sur Rakuten ou en version numérique

-Thierry JANSSEN, « La maladie a-t-elle un sens ? », éditions Fayard.
Disponible sur Rakuten

-Pierre-Jean THOMAS-LAMOTTE, « Et si la maladie n’était pas un hasard… », éditions Le jardin des livres. Disponible ici.

 

Sites internet :

www.germanique-nouvelle-medecine.com
www.athias.net
www.alasanteglobale.com
www.biodecodage.com
www.alain-scohy.com
www.lessymboles.com

LES CINQ LOIS BIOLOGIQUES
DE HAMER

La lecture des écrits de Hamer est ardue pour les francophones. Heureusement, Robert Guinée
a suivi de près ses travaux et, dans son livre « Les maladies, mémoires de l’évolution », il a réalisé la plus fidèle présentation française qui soit des découvertes de Hamer, en y ajoutant sa propre expérience.

1ère loi : la loi d’airain du cancer

Tout cancer débute par un D.H.S., un choc brutal, un conflit aigu, dramatique, qui prend l’individu à contre-pied, vécu dans l’isolement et perçu par le patient comme le plus grave qu’il ait jamais connu. C’est la manière subjective, voire l’endroit du corps où le patient l’a ressenti qui détermine la
localisation du cancer dans les organes et plus précisément dans les tissus des organes. Par la suit
e, cette loi a été étendue à la quasi-totalité des maladies, sauf principalement à celles résultant de l’action toxique ou d’agents physiques qui agissent par effet de masse et des maladies résultant de carences alimentaires graves.

2ème loi : la loi d’évolution biphasique des maladies

Toute maladie est caractérisée par une évolution en deux phases, à condition que le conflit ait reçu une solution : la phase active du conflit et la phase qui suit la résolution du conflit, dite aussi phase post-conflictolyse ou phase de guérison.

3ème loi : le système ontogénétique des tumeurs et des équivalents cancéreux

Les relais cérébraux qui sont situés dans le cerveau ancien (tronc cérébral et cervelet) sont en résonance avec les tissus de l’endoderme et du mésoderme ancien. Les programmes biologiques qui y correspondent aboutissent à la formation de masse dans ces tissus Les relais situés dans le cerveau nouveau (substance blanche et cortex cérébral) sont en résonance avec les tissus du mésoderme nouveau et de l’ectoderme. Les programmes biologiques qui y correspondent peuvent aboutir, selon le tissu, soit à des nécroses, soit à des blocages durant la phase active du conflit. durant la phase active du conflit.

4ème loi : le système ontogénétique des microbes

La classification des microbes correspond à leur âge : les plus anciens sont les champignons, les « médiévaux » sont les bactéries et les plus jeunes sont les virus. Tous les microbes sans exception travaillent exclusivement, et sur ordre du cerveau, durant la phase qui suit la solution du conflit jusqu’à la fin du processus de guérison. Les champignons traitent les tissus les plus anciens issus de l’endoderme et régis par le tronc cérébral. Les bactéries traitent les tissus moyennement anciens, issus du mésoderme et régis par le cervelet ou la substance blanche. Les virus traitent les tissus les plus nouveaux, issus de l’ectoderme et régis par le cortex cérébral. De plus, tous les microbes sont spécialisés, non seulement en fonction des tissus qu’ils traitent, mais aussi en fonction de la manière dont ils travaillent : les champignons agissent comme des éboueurs pour déblayer les masses ; les bactéries peuvent travailler à la fois comme éboueurs et restaurateurs ; les virus travaillent à la restauration des tissus nécrosés.

5ème loi : loi de la quintessence des maladies

LE DÉCODAGE BIOLOGIQUE À SA VRAIE PLACE

Le sens biologique des maladies, c’est la théorie.
Le décodage biologique, c’est la pratique, l’utilisation du savoir au cours de consultations individuelles, centrées sur une
problématique particulière, avec l’aide d’un psychothérapeute.

La place du décodage biologique n’est pas « devant »
la médecine.

La médecine occidentale a fait largement ses preuves comme étant le meilleur moyen de retrouver la santé. Souvent, la première chose à faire par le psychothérapeute spécialisé en décodage biologique, c’est de renvoyer le patient chez le médecin, de le convaincre de l’importance de retrouver confiance en lui et de l’utilité de ses traitements pour lutter contre la maladie. De plus, aucun décodage fin n’est possible sans un bon diagnostic médical préalable, c’est dire quelle outrecuidance guide celui qui prétend s’en passer. Enfin, et c’est sans doute le plus important, tout thérapeute qui pratique le décodage biologique et tout patient qui entreprend ce travail doit bien évidemment ne pas interrompre un traitement médical qui serait recommandé par le médecin. Ils n’y ont de toute façon aucun intérêt car cela donnerait peu de chance au basculage en guérison vu le supplément de stress que cela occasionnerait chez l’un comme chez l’autre. Mais surtout cela ferait courir un grand risque au patient et serait totalement contradictoire avec le principe « d’abord ne pas nuire ». Ces dernières années, le non respect par de rares illuminés de cette précaution élémentaire a jeté l’opprobre sur une profession qui par ailleurs respecte généralement ce grand principe.

La place du décodage biologique n’est pas
« derrière » la médecine

Caché derrière, comme si on avait honte, comme si la clandestinité était le seul repaire et repère. Car la médecine doit reconnaître qu’elle est en échec pour la guérison de nombreuses maladies, notamment toutes les maladies chroniques, dont les cancers. Et il serait temps qu’elle s’ouvre enfin, non seulement au décodage biologique, mais aussi à d’autres thérapies nouvelles et alternatives qui, en envisageant l’individu dans sa globalité, ont une autre approche qu’elle, permettant de solutionner ce qu’elle laisse en chantier. Puisque de toute façon les malades non guéris, donc insatisfaits, vont un jour ou l’autre aller voir ailleurs. Si la médecine guérissait tout, il n’y aurait pas de place pour d’autres alternatives. Mais ce n’est pas le cas. L’oncologue par exemple doit constater que ses patients sont à 50 % de non guérison ou de récidive dans de nombreux cancers.

La vraie place du décodage biologique est « à côté »
de la médecine.

On a presque envie de dire : main dans la main. Le cabinet du « décodeur biologique » pourrait se trouver à côté de celui du généraliste, les patients passant facilement de l’un à l’autre, allant chercher de chaque côté le meilleur qu’on puisse lui donner pour sa santé, dans une perspective holistique. Dans l’état actuel des choses et en attendant que les facultés de médecine s’ouvrent davantage à l’origine psycho-biologique des maladies, le patient est tenu d’entreprendre les deux démarches en parallèle. Disons et redisons qu’elles sont COMPLÉMENTAIRES, que l’une ne peut nuire à l’autre et qu’elles poursuivent un même but qu’elles ont plus de chance d’atteindre en unissant leurs efforts.

Ainsi pratiqué, le décodage biologique est un plus pour la santé, une façon dynamique et indépendante de mieux connaître les fictions qui nous gouvernent, de déprogrammer celles qui nous embêtent et de prendre sa place dans une écologie solaire.

Toute maladie doit se comprendre comme étant une partie d’un programme spécial de survie, soit un gain de temps, plein de sens, et mis en place par la nature tout au long de l’Evolution.

Cette dernière loi est en quelque sorte la quintessence des quatre précédentes, mais elle ouvre également une nouvelle dimension dans notre compréhension des maladies, en nous reliant à l’ensemble du monde vivant dont nous participons.

3 Comments

  • elisse dit :

    Je rejoins Bogdel sur ces propos. Il faut bien comprendre l’initiative de ce docteur pour voir le sens de l’expérience.

  • Nathalie Akchiche dit :

    Un grand merci à Yves Rastir pour son honnêteté intellectuelle et son courage. Il y a encore beaucoup de travail à faire pour maîtriser cette nouvelle approche en gardant l’intérêt du patient avant tout. Il y a encore beaucoup de résistance dans le monde médical et scientifique. Il y a encore beaucoup de chemin pour que cette approche de la maladie, que les différentes actions thérapeutiques à mettre en place se structurent et que l’enseignement soit dispensé avec la rigueur nécessaire. Le mouvement est en route et les consciences des personnes concernées par la maladie se réveillent petit à petit. Il reste encore du chemin, je suis confiante.

  • Bogdel dit :

    Bonjour,
    Très bel article merci.
    Mais si je puis me permettre il manque encore une dimension, lorsque vous abordez la dimension celle du sens. Et je pense particulièrement aux travaux du Dr Hamer : celui-ci a parfaitement identifié les résonances qui accompagnent les différents types de cancers. Mais sa formation (et ses connaissances) ne lui a pas permis d’aller plus loin, et apparemment vous non plus… ce n’est pas un reproche.
    Je veux dire par là que au-delà, et pour reprendre l’histoire du Dr Hamer par exemple, le sens que vous donnez à son propre cancer “- Le cancer des ovaires ou des testicules : pour créer des cellules turbo capables de recréer ce qui a été dramatiquement perdu” très bien, mais vous donnez en somme qu’un sens “fonctionnel” à cela et c’est tout ( déjà ça me direz-vous)… qu’en est-il sur le plan d’un sens que je pourrais qualifier à défaut d’un autre mot, de “initiatique”… pour lui? Qu’en était-il pour ce cher docteur?Quel était le sens plus profond pour lui, à ce moment de sa vie? je veux dire “est-il possible de re-situer cela dans un contexte à la fois plus global et personnel, voire intime?
    Et bien je réponds Oui!… il est possible de faire cela ce qui peut permettre par exemple d’éviter de répéter inlassablement les mêmes erreurs. Je pense à propos de Dr Hamer à l’histoire de cet homme qui 5 fois de suite s’est collé un cancer me semble-t-il des seins? (le nid) car il échoua 5 fois de suite dans la construction de sa maison… certes la résonance entre cancer du sein et problématique du nid est réelle , mais pour cet homme ( qui au bout du compte a succombé à son 5ème cancer) le sens de sa maladie avait encore une autre dimension… savez-vous qu’il existe une “science” qui permet d’approcher cela? qu’elle n’est pas plus difficile qu’une autre?
    cordialement,

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