Skip to main content
Yves Rasir

Mêmes singeries catastrophistes, mêmes marioles rameutés sur les plateaux télé : inutile de vous dire que la deuxième saison de la série « variole du singe », diffusée en plein été, ne m’a guère passionné. Rebaptisée Mpox pour ne pas discriminer nos cousins primates et pour ranimer le spectre de la variole humaine, cette « urgence de santé mondiale » (dixit l’OMS le 13 août) semble d’ailleurs déjà faire long feu. Annoncé à 3,6%, son taux de létalité a été rapidement revu à la baisse (0,2%, soit l’équivalent d’une mauvaise grippe) et son faible taux d’infectiosité commence à faire consensus. Pas de quoi fouetter un chimpanzé, même pour les experts les plus virophobes. À mon avis, cette fausse alerte avait pour seule raison d’apporter un semblant de justification à « la carte de vaccination Européenne » (CVE) introduite également mi-août. Préfigurant un passeport vaccinal permanent, cette CVE est la première étape du projet totalitaire en cours et il fallait bien lui fournir un alibi sanitaire. Rien de bien sérieux donc, c’est probablement une manœuvre classique d’ingénierie socio-psychologique dictée par l’agenda politique. Quoique. C’est peut-être aussi un écran de fumée déployé en vue de dissimuler un énorme scandale potentiel. La technique du virus émissaire, c’est du déjà vu et revu.

Un scénario sida

Une maladie cantonnée aux milieux homos et qui s’attaquerait subitement aux hétéros, ça ne vous rappelle rien ? Un virus avec un ancêtre simien qui s’apprêterait à ravager le continent africain, ça ne vous rappelle toujours rien ? Début des années 80, une épidémie de pneumocystoses et de sarcomes de Kaposi sévit chez les homosexuels américains vivant en centre urbain et friands de relations multiples lors de marathons copulatoires. Comme ces deux affections à tropisme pulmonaire surviennent sur un terrain immunodéprimé, on découvre rapidement que l’immunodéficience est le point commun des patients atteints : le SIDA est né, immédiatement affublé de lettres capitales. Il tombe sous le sens que ce syndrome est en rapport avec le triste mode de vie gay, notamment la consommation élevée d’antibiotiques pour soigner les MST, les sodomies passives répétées et l’usage effréné de drogues dites «récréatives ». Parmi elles, les petites bouteilles appelées « poppers » et contenant du nitrite d’amyle, un dérivé de la dynamite, font figure de suspect numéro un. Seulement voilà : le wokisme règne déjà et il ne faut pas stigmatiser les minorités qui sniffent ce vasodilatateur immunodépresseur ! La recherche scientifique détourne donc le regard et la piste toxique est abandonnée, comme Néosanté l’a relaté dans cet article politiquement incorrect. En 1984, Robert Gallo et Luc Montagnier co-découvrent la présence fréquente d’un rétrovirus chez les malades et il n’en faut pas plus pour lancer le mythe de la culpabilité virale et la quête frénétique d’une solution vaccinale. Grâce aux tests – sérologiques d’abord, génomiques ensuite – , le nombre de cas explose et les prévisions apocalyptiques s’imposent dans les médias. Les Neil Ferguson de l’époque proclament que le continent africain va être quasiment rayé de la carte avant la fin du millénaire. Début des années 90, la trithérapie arrive à point nommé pour masquer ces modélisations foireuses et faire croire que les médicaments antiviraux ont arrêté le fléau. Cette méga escroquerie, qui est racontée sans détour par le rétrovirologue américain Peter H. Duesberg dans son ouvrage « L’invention du virus du sida » (éditions Marco Piétteur), perdure toujours aujourd’hui ! Si la mystification a fait merveille, c’est évidemment en raison du dépistage intensif et systématique. Les premiers « dissidents du sida » ont accusé les tests initiaux de réagir à pas moins de 71 maux répandus en Afrique (malaria, tuberculose, diphtérie, bilharziose…) et même à l’état de grossesse ! Presque 40 ans avant le covid, la recette du test trop sensible et trop peu spécifique était donc déjà maîtrisée par les plandémistes qui l’ont ré-employée avec le coco et la recyclent maintenant avec la « Monkey Pox ».

Virus ou pemphigus ?

Il y a cependant une différence de taille entre les deux scénarios : avec son empreinte sur la peau ou les muqueuses et ses affreuses cloques suintantes, la variole du singe peut difficilement être confondue avec les pathologies sans impact dermatologique. Mais ça ne veut pas dire que le diagnostic se fonde sur des critères cliniques sans équivoque ! Il existe en effet un groupe d’affections cutanées qui surviennent lorsque le système immunitaire se retourne contre lui-même. Les types les plus courants de ces maladies vésiculeuses auto-immunes sont le pemphigus et la pemphigoïde bulleuse. Le premier provoque la formation d’ampoules molles qui se brisent facilement en formant des plaies douloureuses et très enflammées. S’il n’est pas traité, le pemphigus peut être mortel. La seconde provoque des lésions qui peuvent s’ulcérer mais qui disparaissent généralement spontanément. Il y a encore d’autres maladies vésicantes auto-immunes sans causalité virale (dermatose bulleuse à IgA, pemphygoïde gestationnelle….) qui peuvent facilement être prises pour la Mpox par des yeux peu avertis. Je n’ai pas trouvé ça tout seul, je l’ai découvert en prenant connaissance des déclarations d’une virologue de premier plan, le Dr Poornima Wagh, qui officie à l’hôpital pour enfants de Cincinnati et qui est intervenue notamment dans cette vidéo du Dr Lee Merritt. Auteure de nombreuses publications dans des revues à comité de lecture, la scientifique d’origine indienne alerte depuis deux ans sur la confusion probablement très fréquente entre la variole du singe et ces troubles immunitaires occasionnant des « bulles » très ressemblantes. Plus grave pour sa carrière : le Dr Wagh soutient que les maladies vésiculeuses auto-immunes sont un effet secondaire connu des vaccins à ARNm contre le covid ! Ceci n’est pas du complotisme, c’est un fait établi et qui a été confirmé, entre autres, par des études de cas diligentées par le NIH .  C’est aussi une réalité attestée par cette étude française publiée dans les Annales de Dermatologie et de Vénérologie. N’en déplaise aux fact-checkers, il est donc plausible que la pseudo flambée de Mpox soit une conséquence du vax expérimental, un effet rare mais avéré de la piquouze Pfizer ou Moderna.

Un effet Pfizer ?

Cette hypothèse a fait l’objet d’un article troublant sur le site de The Exposé. Les journalistes britanniques ont eu l’idée de superposer la carte mondiale de la distribution du vaccin Pfizer et celle de l’incidence de la variole du singe depuis 2022 (chiffres officiels de l’OMS). À moins de s’auto-aveugler, il saute aux yeux que les deux « maps » matchent parfaitement : il y a une correspondance presque parfaite entre le succès commercial du Comirnaty (vaccin Pflizer/BioNtech) et la répartition géographique des cas de variole. Bien sûr, corrélation n’est pas causalité, mais la coïncidence ne peut qu’interpeler. Pour le média alternatif, l’épidémie faussement infectieuse servirait à camoufler le scandale vaccinal et à relancer une nouvelle psychose débouchant à son tour sur des campagnes d’injections qui vont encore plus brouiller les pistes. Personnellement, je suis assez convaincu par ce qu’expose The Exposé : il est flagrant que les maladies bulleuses surviennent très majoritairement là où a été inoculé le poison Pfizer. Ce qui renforce ma conviction, c’est que le média anglophone a éliminé un biais de confusion en mettant en beige un groupe de pays africains où la variole du singe est endémique, dont la République Démocratique du Congo. Or ce grand pays pourrait être franchement teinté en bleu foncé ! Autant savoir en effet que la Belgique conserve des liens étroits avec son ancienne colonie dont elle soutient toujours financièrement le système de santé. Autant savoir aussi que la Belgique abrite l’usine Pfizer d’où sont parties des millions de doses de Corminaty. Autant savoir enfin que les États-Unis cherchent depuis des lustres à remplacer les Belges comme partenaires privilégies des Congolais.  Comme en témoigne ce communiqué de l’UNICEF, les USA ont généreusement offert en 2021 à la RDC  250.380 fioles estampillées Pfizer et 250.000 fioles étiquetées Moderna. Dans cet autre article, on apprend que le système COVAX a permis d’envoyer au Congo 1.224.000 doses du Pfizer. Certes, les Congolais ne sont pas niais et ne se sont pas précipités dans les vaccinodromes. Inutilisés et périmés, une bonne partie des vaccins covid ont été retournés à l’envoyeur belge. Il n’empêche que le Congo Kinshasa a été copieusement arrosé de fioles et que c’est aussi le pays où la deuxième alerte à la variole et son nouveau variant a été déclenchée sur un ton dramatisant, l’OMS insistant sur les cas recensés chez les enfants et les adolescents.  Un hasard ?  Ça commence à en faire beaucoup. Il ne me semble pas hasardeux de postuler que la fausse poussée de Mpox soit en réalité une couverture tendue pour cacher l’un des effets délétères du vax pour le système immunitaire. J’assume complètement ce point de vue « conspi » qui va sans doute encore m’attirer des ennuis et de la censure.

En attendant la « Big One »

Et tant qu’on y est, je rajoute une couche à ma théorie de la conspiration. Quel que soit le succès de l’épisode « le retour de la variole », je continue de penser qu’il s’agit là d’une diversion, d’une manœuvre destinée à distraire l’opposition pendant que la minuscule minorité de milliardaires mondialistes avance ses pions. Je reste persuadé que la prochaine grande fraude plandémique est celle de la grippe aviaire. Pour rappel, voici mes 3 arguments principaux : 1) Le virus H5N1 est déjà signalé un peu partout sur la planète et est censé avoir franchi la barrière des espèces et se transmettre d’humain à humain. Le baril de poudre est là, il ne manque plus que l’allumette craquée par Bill ou son acolyte Tedros. 2) Cette maladie prétendument virale représente un pactole incomparablement plus alléchant que la variole. Sur demande politique, Big Vax pourrait vacciner tous les Terriens et tous les animaux d’élevage, voire également les animaux sauvages soupçonnés de véhiculer la particule.  Un jackpot colossal. 3) Une super pandémie de grippe aviaire permettrait de donner un coup fatal aux éleveurs et à leurs animaux puisque ces derniers sont impitoyablement exterminés à titre préventif au moindre foyer détecté. Orchestration d’une grande famine à des fins de dépopulation ? Je penche plus raisonnablement pour un « great reset » alimentaire permettant d’atteindre les objectifs climatiques à l’horizon 2030. Ce n’est pas pour rien que de grandes usines à insectes, comme celle d’Amiens, fleurissent un peu partout dans le monde. On nous dit que c’est pour nourrir le bétail ou les poissons mais l’an dernier, l’Europe a  autorisé ces farines  pour l’alimentation humaine. Ce n’est pas pour rien non plus que la production de viande artificielle s’approche d’une échelle industrielle et que cette bidoche de labo est déjà servie aux consommateurs américains. Pour moi, c’est l’agriculture familiale et le petit élevage qui sont visés à travers les multiples zoonoses « confirmées » par test PCR. Ici en Belgique, c’est la fièvre catarrhale (ou maladie de la langue bleue) qui défraie actuellement la chronique. Des milliers de moutons et de bovins ont déjà été sacrifiés pour juguler cette maladie non transmissible à l’homme. Si le covid a ouvert la voie au contrôle numérique des corps, les prochaines plandémies  et la « big one » sont à mon avis programmées pour punir les carnivores et les obliger à se protéiner autrement. La fenêtre d’opportunité, comme dit Klaus Schwab, n’est déjà plus fermée.  Elle est en train de s’ouvrir en grand pendant que les marioles nous leurrent avec la variole.

Yves Rasir

3 Comments

  • Hélène dit :

    C’est une analyse intéressante mais j’aimerais savoir quels sens biologique ont les symptômes de la mpox. Ne regarder que par l’angle de l’effet secondaire du vaccin covid consiste à rester dans le paradigme de la médecine allopathique qui ne regarde que les interventions extérieures pour expliquer les symptômes d’une maladie. Pourtant toutes les personnes vaccinées ne déclarent pas à 100% ses effets secondaires qui ressemblent au mpox et pour d’autres cas les symptômes sont encore de natures multiples. Bien que les vaccins dérèglent des choses, les dérègles-t-ils toujours en accords avec les lois biologiques? quels conflits rencontres ces personnes vaccinées exactement?
    Un autre effet secondaire du vaccin covid a été les dérèglements de menstruations chez les femmes, pourtant je connais des femmes non vaccinées qui ont déclarées les mêmes symptômes dans la même période laissant croire que ces femmes ont vécues le même type de conflits probablement liées aux mesures sanitaires et changements dans la société à ce moment. C’est ce genre de regard qu’il m’intéresserait particulièrement. S’il y a des articles dans la revu qui abordent ces réflexions j’aimerais beaucoup les lire.

  • Mostaert Louis dit :

    Le lobby pharmaceutique a inventé l’escroquerie à mouvement perpétuel : quand il y a des malades, il dit que c’est à cause d’un virus contagieux et qu’il faut vacciner le plus de monde possible ; quand les injections génèrent des malades, il dit que c’est à cause d’un autre virus contagieux et qu’il faut vacciner le plus de monde possible ; quand les nouvelles injections génèrent à nouveau des malades, il dit que c’est à cause d’un autre virus contagieux, et qu’il faut vacciner le plus de monde possible, et ainsi de suite à l’infini ! Le lobby s’ingénie même à faire passer les microbes pour les ennemis de la santé et la chimie (dûment brevetée) comme l’amie indispensable de la santé, pour guérir des maladies comme pour les prévenir pendant toute la vie !
    Puisque les virus ne sont pas la cause des maladies, injecter un virus ou un morceau de virus dans le bras ne provoque évidemment aucune maladie mais pas non plus de réponse immunitaire correspondante. Le morceau de protéine est tout bonnement détruit et éliminé de l’organisme le plus simplement du monde. C’est d’ailleurs pour cela que dans les injections dites à ARNm, le morceau de protéine est emballé dans du cholestérol pour ne pas être détruit trop rapidement. Chez les injectés, ce qui provoque en réalité une réaction immunitaire, ce sont les polluants qui y sont incorporés secrètement à cette fin (aluminium, graphène…). Chez certains injectés, leur santé ne leur permet pas de se débarrasser de ces polluants avant qu’ils aient provoqué des dégâts. Les symptômes cutanés, si j’ai bien retenu la leçon, traduisent d’ailleurs la réaction de l’organisme qui cherche à éliminer ces polluants qui l’empoisonnent. C’est la raison pour laquelle il faudrait exiger un contrôle du contenu des fioles après leur mise en circulation, contrôle qui n’a pas lieu. Devant le risque d’être pris en défaut, les firmes commercialiseraient peut-être alors des fioles ne contenant plus de poisons. Ce serait toujours ça de gagner pour les injectés : fini la dangerosité. Il resterait toujours leur inutilité, sauf chez les croyants dans les vax qui auront l’effet placebo sans la dangerosité.
    A propos de l’escroquerie au VIH, imposer la cause virale (sans jamais la prouver ni la vérifier) avait un intérêt bien particulier. Il y a 40 ans, quand les médecins cherchaient honnêtement la cause et étaient sur le point d’incriminer une drogue comme c’était le cas chez les toxicomanes et leurs sarcomes de Kaposi, l’empoisonnement chimique aurait mis le soupçon sur toutes les substances chimiques, y compris celles qui servent de médicaments puisque les drogues psychotropes sont des molécules de la même famille que les médicaments psychotropes. Par la suite, dans cette escroquerie, les escrocs n’ont pas choisi l’option des injections avec rappels réguliers pour un maximum de gens, mais un traitement curatif avec 4 médicaments à vie (jusqu’à ce que mort s’en suive) pour tous ceux qui sont étiquetés positifs, donc y compris des gens qui ne sont absolument pas malades. Leur profit est-il supérieur ?
    Personnellement, j’ai un problème avec ce que la médecine officielle appelle un peu trop facilement maladies auto-immunes. L’immunité qui se retourne contre son organisme, est-ce pour l’attaquer alors qu’il est sain ou est-ce pour le défendre alors qu’il est en réalité malsain ? Avec toutes les saloperies chimiques avec lesquelles on doit vivre, combien de gens sont encore suffisamment sains ? Quand bien même l’immunité dysfonctionnerait, c’est que quelque chose la fait dysfonctionner ; ça ne vient pas comme ça, tout seul. On sait que l’immunité produit une molécule (appelée erronément anti-corps facilitant) pour détruire les cellules de son propre organisme quand il y en a des défectueuses et produit en même temps, que je ne me trompe, une autre molécule pour protéger ses cellules saines (la cytokine), sans oublier la fièvre pour protéger ses organes vitaux. Il suffit qu’elle ne puisse pas produire assez de cytokine, notamment avec l’usage d’anti-inflammatoires, pour que des dégâts se produisent. J’ai le même problème avec le discours des oncologues qui prétendent que l’immunité ne reconnaît pas les cellules malignes et qu’on peut alors l’aider à le faire moyennant l’administration d’un traitement (breveté bien sûr). Alors qu’il suffirait de donner à l’immunité tout ce qu’il faut pour bien fonctionner naturellement !
    Concernant le lien entre la mise en scène de la grippe aviaire et la fin de la nourriture carnée, et pour rester dans le milieu de la pharmafia, les usines à insectes ne sont sûrement pas un bon plan pour le lobby pharmaceutique vétérinaire : comment y fourguer des vaccins, des antibiotiques et des médocs chaque fois qu’un insecte sera malade ! Et ce sera plus difficile d’utiliser l’argument de la zoonose pour les futures plandémies ! Par contre, mettre en péril les petites exploitations qui n’ont pas besoin de ces saloperies chimiques et récupérer leurs parts de marché pour les usines des multinationales me paraît un but plus lucratif pour ce lobby. Dans les élevages concentrationnaires, tous les jours, ils doivent ramasser des cadavres. Et pour compenser ces pertes, ils concentrent plus d’animaux, ce qui augmente les pertes. C’est toute l’absurdité de ce système, et toute la niaiserie de ceux qui gèrent ce type d’élevage et qu’on doit bien appelé des exploités agricoles !

  • Claire dit :

    Une analyse que je partage totalement.
    Merci.

Leave a Reply